J’avoue, je suis un fan de la chaine YouTube du Raptor !
Si vous ne connaissez pas encore, c’est à découvrir d’urgence…
OK, c’est grôle mais est-ce que ça nous apprend quelque chose sur notre société et sur notre présent ?
Heureusement, oui et voici quoi…
Dans ses vidéos fort bien faites (même si le montage est un peu nerveux et plein de références internes, c’est très travaillé, croyez-moi !), le Raptor expose sans pitié les travers répétés du gouvernement, des gauchistes, des féministes et des médias, le tout étant qualifié de « société des baltringues » (définition du terme « baltringue », par ici). Honnêtement, on ne peut lui donner tort et si vous voulez un recensement précis des dérives absurdes de notre époque, la chaine du Raptor est une bonne source.
Tout cela est déjà intéressant mais il y a plus : ces contenus nous montrent, de façon incontestable, que les médias sont verrouillés dans une course (absurde) au « toujours plus ». Ayant favorisé les émissions les plus abrutissantes et les plus abêtissantes pendant des années (que dis-je, des décennies !), les médias généralistes principaux ne savent plus quoi faire pour continuer à retenir une audience qui s’effritent inexorablement. D’où la tendance à faire pire, encore et encore jusqu’à tomber à des niveaux que personnes ne pouvaient imaginer (hélas, la réalité dépasse toujours la fiction, c’est vérifié une fois de plus).
Si vous pouvez que j’exagère, jetez donc un oeil là-dessus (c’est court, heureusement !) :
L’erreur serait de penser qu’il s’agit-là d’une exception (certes malheureuse), d’une aberration qui ne compte pas. Il n’en est rien. Si une Soveig Halloin peut exister et se produire ainsi, c’est parce que le système en place le permet et l’encourage (si on en juge par les applaudissements désolants qui suivent sa « performance »…).
Devant la nullité organisée du gouvernement et des médias, les vidéos du Raptor deviennent une source d’informations crédibles et raisonnables… Eh oui, on en est là.