En tout cas, c’est mon cas !
En ce moment, je suis en train de travailler à la seconde édition de mon livre sur le Simracing. Il va s’agir d’une vraie révision : réécriture de certaines parties et enrichissement général du contenu. Cependant, j’ai eu du mal à m’y mettre, à vraiment démarrer. Seulement, une fois que c’est fait (le démarrage), il n’y a plus que cela (le livre) qui compte. Pour travailler sur un projet, il faut que ce dernier devienne obsessionnel (enfin, c’est le cas pour moi). Donc, à partir du moment où le projet en cours atteint ce stade (l’obsession), plus rien d’autre ne compte et j’oublie tout le reste, y compris de répondre aux emails !
Voilà, c’était juste un petit post pour vous faire partager mon expérience de « tous les jours » : les bons jours (quand ça coule tout seul) et les mauvais jours (quand j’ai l’impression de n’avoir rien fait). De mon expérience, je retiens ceci : les bons jours ne sont présents que lorsque j’ai réussi à me mettre dans cet état obsessionnel à propos du projet en cours… Sinon, je me traine lamentablement.
Corollaire : pour que cela puisse devenir une obsession, il faut aussi que le sujet du livre me plaise, me fascine ou me concerne (au choix ou les trois à la fois). Car, sans plaisir, ça ne marche pas, non plus… Voilà pourquoi l’écriture est une tâche aussi ingrate : impossible de faire cela comme un travail « ordinaire » !
Indeed! Very accurate statement!
It’s true for writting as much as it’s true for life an anything worthy of doing!
Put your all and your passion (and obsession) into it and that’s how you accomplish (great) things!