Critique de mon dernier livre sur « Les Echos » : super sévère !

C’est ce qui s’appelle « se faire tailler » en langage djeun !

Les Echos d’aujourd’hui publie une critique de mon livre « Les réseaux sociaux » paru dernièrement en seconde édition… Je devrais être content mais le contenu de la critique est vraiment cinglant !

Lisez plutôt :

A lire cette critique, on a presque l’impression que son auteur s’en prend plus à moi qu’à mon livre… Aurais-je donc une importance que mon égo ne soupçonnait pas ?

Pourtant, les échos (sans jeu de mot !) que j’ai reçu de la part des premiers lecteurs de ce livre sont plutôt largement favorable. Et le ton de cet ouvrage est plutôt modéré par rapport à ce que j’ai pu écrire dans le passé. Bref, je ne vais pas en faire une maladie mais je suis tout de même un peu surpris.

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11 réponses à Critique de mon dernier livre sur « Les Echos » : super sévère !

  1. Bonjour Alain !

    A lire cette critique, il semblerait que c’est le jargon qui ait perdu le journaliste au fil de la lecture. Il avait bien conscience de ne pas toujours comprendre, il s’est décidé à écrire une critique négative, puis il a lu que ceux qui ne comprenaient pas étaient des imbéciles, il l’a pris personnellement, et ce fut la réaction en chaine. Ne t’en fais pas, va!

    Mais un peu moins de jargon et plus de pédagogie pour la prochaine fois, peut-être? (Je n’ai pas lu ce livre, donc je fais juste la remarque en l’air).

    Par contre, « Il trouve toujours de bonnes raisons… blabla… prochaine génération sera, elle, un succès. », là j’ai retrouvé mon Alain de Racing. Je veux dire la manière que tu as de tirer la leçon d’un échec ou d’un semi-échec et de partir pour la prochaine course avec optimisme.

    Amitiés,
    Jean-François

  2. Philippe NIEUWBOURG dit :

    Ah qu’il est bien ce journaliste 😉
    C’est vrai que ce n’est jamais agréable d’être critiqué, mais quelque part, cela fait vendre aussi. Parlez de moi, en bien, en mal… du moment que vous parlez de moi…
    Plus sérieusement, je suis d’accord avec C.D., le positivisme a des limites. V2 ou V1 (j’ai lu les deux), ton livre est irritant pour celui qui ne croit pas aux réseaux sociaux, mais est prêt à reconnaître son erreur. On aimerait en effet mieux comprendre pourquoi les promesses d’hier ne sont pas au rendez-vous et comment les promesses d’aujourd’hui se réaliseraient mieux demain.

  3. alefebvre dit :

    La question n’est pas « d’y croire ou pas »… Les réseaux sociaux sont là et ils sont un franc succès si on en juge par le nb d’inscrits et l’activité qu’ils y déploient.

  4. Jm dit :

    Tenez bon Alain 🙂

    Le fond de la motivation des critiques du web2, ou des réseaux sociaux, ou de l’Internet et de ses logiques en général d’ailleurs, n’est pas lié à la qualité de l’ouvrage ou des arguments ou de quoi que ce soit de cet ordre.

    La motivation est la suivante : empêcher le potentiel créateur du net en termes de modèles économiques, de modèles d’organisation sociale, et du reste…, de s’exprimer, coûte que coûte!

    Il s’agit de castrer le sens véritable de l’outil pour le mettre au service de qui on sait.

  5. Salut alain

    Perso j’aime bien (j’ai pas lu la V2, pas encore acheté) ton ton « professoral optimiste » mais j’ai fait math pur eà la fac : ceci explique cela 😉

    Plus sérieusement le ton est une affaire de manière de voire le monde, pour travailler avec des personnes issue d’école de commerce je sais qu’il existe plusieurs facon d’aborder le monde et qu’il est très difficile de concilier des personnes aux vues très divergeantes.

    entre « technique » c’est souvent plus simple 😉

  6. Nicolas ROLIN dit :

    Salut Alain,
    Est ce le retour de ton « avant-gardisme » qui lui fait dire cela…
    Tu as souvent eu la parole juste quant aux probabilités des faits informatiques, j’ai confiance dans la lecture de tes écrits, la poussée réelle des réseaux sociaux dans leur phase actuelle du « peopleware » est réelle et bien décrite notamment dans ta vidéo, je prêtes pas gare à ces critiques non constructives à mon sens, vas de l’avant comme toujours même si l’égo peut en prendre un p’tit coup à la lecture d’un tel papier.
    Amities
    Nicolas

  7. Marco dit :

    Au hasard d’une navigation, je suis tombé sur votre livre ‘Perdu dans le temps’, mais il ne semble plus disponible au format papier. Je n’ai pas d’e-book. Peut-on se le procurer quelque part ? Amazon ne propose plus qu’une version d’occasion et en général, ces vendeurs n’envoient pas à l’étranger (Belgique). J’en ai fait quelques fois l’expérience, essuyant plusieurs refus. PriceMinister ne le propose pas non plus.

    Votre livre semble apprécié par ses lecteurs. Que faire ? :'(

  8. Marco dit :

    Et en passant,

    Je critique moi-même des livres à l’occasion. Pour le livre mentionné dans ce post, n’oubliez pas qu’une critique n’est que le fruit d’une personne et ne reflète pas nécessairement l’opinion des autres. Il ne faut pas non plus la prrendre personnellement. Cela ne porte que sur un ressenti par rapport à un livre.

    Prenez les épinards (pardon pour la comparaison). Certains détestent au plus haut point et d’autres en raffolent 🙂

  9. alefebvre dit :

    @ Marco => à propos de « perdu dans le temps », je ne sais pas quoi vous proposer !
    Il est actuellement disponible uniquement sous forme d’ebook et les versions papier qui circulent sont l’ancienne édition (moins bien corrigée que la récente).
    Ceci dit, je vous conseille tout de même d’essayer d’en acheter un exemplaire d’occasion sur Amazon : vous trouverez bien un vendeur qui accepte de l’envoyer en Belgique (je m’étonne que ça soit un obstacle).

  10. Nico dit :

    Effectivement c’est sévère ! Quel « drôle » d’article….

    En fait, cette article est trés déplaisant, dans son ton et sa démarche malgré l’intérêt du sujet 🙂

  11. JAB dit :

    Il est amusant de constater comme la modernité, particulièrement lorsqu’elle est d’origine américaine, crispe nombre d’ignorants dans notre beau pays, la France. C’est une caractéristique de notre culture autant que de participer aussi parfois à l’inventer cette modernité. Je n’ai pas lu votre livre mais je comprends bien qu’un vocabulaire nouveau fortement teinté d’américanismes et la description d’usages ou concepts flous pour ceux qui les ignorent puissent profondément les énerver. J’en connais certains et je dois avouer en avoir fait parti, avant d’essayer, de comprendre puis de les maîtriser ces fabuleux outils. Au point qu’aujourd’hui, je n’ai plus aucun doute et prêche partout que les réseaux sociaux internet (qui ne formeront plus qu’un) sont pour la communication actuelle et future ce que fut le central téléphonique automatisé en son temps. Et qu’on les aime ou les utilise ou pas, il seront un jour transparents et sous toute communication sans même que les râleurs ne le savent. Effectivement, une telle critique si excessive et ridicule et manifestement ignorante sans aucun désir de se corriger ne mérite aucun stress de votre part. Il s’agit malgré tout d’une exposition médiatique d’importance et c’est tout ce qui compte. Tout lecteur/récepteur aujourd’hui sait se faire son opinion. Merci pour votre blog.

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