Voici les illustrations en rapport avec le contenu du chapitre trois – « Stations de travail et PC« …
Robert Cringely, chroniqueur du monde de l’informatique et auteur de nombreux ouvrages. Dans son documentaire Triumph of the Nerds, Bob Cringely montre comment Microsoft n’était PAS intéressé par le système d’exploitation et ne s’y est mis que pour faire plaisir à IBM.
Plus sur Robert Cringely à http://en.wikipedia.org/wiki/Cringely
Un schéma de conception utilisant le concept VLSI. Pendant la décennie 70, on constatait que la conception des processeurs avait du mal à dépasser 100 000 transistors comme niveau d’intégration maximum car les outils disponibles pour les concepteurs étaient simplement incapables de gérer des niveaux de complexité supérieure. C’est alors qu’un professeur du Caltech et une programmeuse du PARC de Xerox allaient permettre une percée qui porte désormais leurs noms : la percée de Mead & Conway.
Plus sur le projet VLSI à http://en.wikipedia.org/wiki/VLSI_Project
Dès 1978, Lynn Conway avait mis en place un cours sur le sujet VLSI au sein du MIT.
Plus sur Lynn Conway à http://en.wikipedia.org/wiki/Lynn_Conway
Carver Mead était professeur au Caltech et il pensait que le design des circuits intégrés devait être radicalement séparé de la phase de fabrication afin de permettre une intégration à très grande échelle, d’où le nom du livre publié par les deux auteurs (avec Lynn Conway comme coauteur, première publication en décembre 1979) : « Introduction to VLSI Systems » (VLSI pour Very Large Scale Integration ou Intégration à très grande échelle).
Plus sur Carver Mead à http://en.wikipedia.org/wiki/Carver_Mead
Le processeur RISC1 conçu à Berkeley. Le design initial de RISC 1 a été finalisé en juin 1981 et le premier processeur commença à être testé en mai 1982.
Le processeur RISC2 également conçu à Berkeley. Le RISC 2, toujours à Berkeley, fut mis en chantier en 1982 et se montra bien plus rapide que le Vax et surtout le 68000 de Motorola qui était considéré comme le meilleur processeur commercialisé à cette époque.
Plus sur le projet RISC à http://en.wikipedia.org/wiki/Berkeley_RISC
Dr. John William Poduska, Sr, fondateur d’Apollo. La société avait été créée en 1980 par William Poduska qui venait de Prime Computer, un fabricant de mini-ordinateurs situé dans la région de la fameuse « route 128 ».
Plus sur William Poduska à http://en.wikipedia.org/wiki/William_Poduska
L’Apollo DN100, première station de travail commercialisée. La DN100 était tout à fait symbolique de la mentalité « autarcique » des sociétés de la côte Est : faire le maximum de choses soi-même.
Plus sur l’Apollo/DN à http://en.wikipedia.org/wiki/Apollo/Domain
En 1982, quatre cow-boys allaient s’attaquer à un nouveau marché. Vinod Khosla, Bill Joy, Andreas Bechtolsheim et Scott McNeally, les quatre fondateurs de Sun Microsystems regroupés autour de leur première station de travail. La conception initiale de ce qui est devenu Sun première station de travail Unix, Sun-1, est due à Andy Bechtolsheim, quand il était étudiant de troisième cycle à l’Université de Stanford à Palo Alto, en Californie.
Plus sur Sun à http://fr.wikipedia.org/wiki/Sun_Microsystems
Sun-1, la toute première station de travail commercialisée par SUN… La conception initiale de ce qui est devenu la première station de travail Unix, Sun-1, est due à Andy Bechtolsheim, quand il était étudiant de troisième cycle à l’Université de Stanford à Palo Alto, en Californie.
Plus sur la Sun-1 à http://en.wikipedia.org/wiki/Sun-1
L’IBM 5100, peu connu et c’est mérité : lourd, cher et avec un écran minuscule. C’est un exercice tout à fait vain de vouloir pointer du doigt le tout premier micro-ordinateur de l’histoire car les candidats sont légions, bien avant l’Altair de MITS ou même le Micral français… En parcourant l’histoire, on retrouve aussi des ordinateurs « personnels » (mais pas forcément basé sur un microprocesseur) très tôt car rien qu’IBM a en fabriqué et commercialisé quatre à lui tout seul ! La série peu connue des IBM 5100 (le 5100 est quand même le tout premier ordinateur portable -transportable serait plus juste avec ses vingt kilos !-), 5110, 5120 et Datamaster n’a pas eu un destin mémorable.
Plus sur l’IBM 5100 à http://fr.wikipedia.org/wiki/IBM_5100
André Thi Truong, le fondateur de R2E et le créateur du Micral. En 1971, André Thi Truong fonde la société R2E (Réalisations Etudes Electroniques). L’année suivante l’INRA (Institut National de la Recherche Agricole) lui commande un système informatique transportable. R2E va concevoir un ordinateur avec comme base le tout nouveau processeur huit bits Intel 8008.
Plus sur André Thi Truong à http://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Truong_Trong_Thi
Philippe Kahn, fondateur de Borland mais aussi à l’origine de l’idée d’ajouter un appareil photo aux téléphones mobiles. Philippe Khan s’est également occupé du logiciel pour le tout premier Micral conçu par Truong.
Plus sur Philippe Kahn à http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Kahn
Le Micral dans sa première version. Grosse comme un PC actuel, cette machine ne dispose ni d’afficheur ni de clavier. On se sert d’interrupteurs pour saisir les données et des diodes affichent le résultat. On peut tout de même y connecter un lecteur de bandes perforées. Le Micral fonctionne comme le Kenback-1 américain, ordinateur à circuit intégré vendu en kit dès 71, L’apprentissage est assez simple. 500 Micral sont produits dès la première année, à 8 450F pièce ($1 750).
Plus sur le Micral à http://fr.wikipedia.org/wiki/Micral
Le premier micro-ordinateur commercialisé : l’Altair 8800 de MITS, vu intérieure. L’unité de base avait seulement 256 octets de RAM et coûtait $395. Sous cette configuration, la machine était pratiquement inutilisable pour traiter quelque problème que ce soit. Toutefois, le système était conçu de telle sorte que l’on pouvait y ajouter un bus et des cartes d’extension.
Plus sur l’Altair de MITS à http://fr.wikipedia.org/wiki/Altair_8800
L’Altair 8800 de MITS (Micro Instrumentation Telemetry System), petite entreprise d’Albuquerque (Nouveau Mexique), apparaît pour la première fois sur la couverture de décembre 1974 de « Popular Electronics ». On peut vraiment dire que c’est à partir de cette couverture que l’histoire de la micro-informatique a vraiment débuté !
Plus sur MITS à http://en.wikipedia.org/wiki/Micro_Instrumentation_and_Telemetry_Systems
L’Apple // avec un écran et deux lecteurs de disquettes (5 pouces). Le modèle de base était livré sans écran ni lecteur. L’Apple // marque un tournant (en 1977) dans la mesure où il change la direction de la micro-informatique. Celle-ci ne vise plus un public d’électroniciens mais d’informaticiens — les deux principales utilisations à l’époque étaient la programmation (principalement en BASIC) et les jeux vidéos.
Plus sur l’Apple // à http://fr.wikipedia.org/wiki/Apple_II
Le Sinclair ZX-81, pas cher mais vraiment minimaliste, livré en standard avec un kilo-octet de mémoire (oui, oui, 1024 octets). Mais au moins, il fonctionnait… Le ZX81 est un ordinateur personnel 8 bits, conçu et commercialisé par la Sinclair Research en mars 1981. Le boîtier était noir avec un clavier à membrane ; l’apparence distinctive de la machine venait du travail du designer industriel Rick Dickinson.
Plus sur le ZX81 à http://fr.wikipedia.org/wiki/ZX81
L’interface de Visicalc. L’apparition de Visicalc en 1979 (le tout premier tableur) va bouleverser le marché. Visicalc n’est pas seulement le tout premier tableur commercialisé (d’abord pour l’Apple// puis très vite sur tout ce qui fonctionnait à l’époque !) mais c’est aussi et surtout le tout premier logiciel à être vendu massivement et auprès de nouvelles couches d’utilisateurs. Le tableur a été ce que l’on appelle la killer app, c’est-à-dire une application qui justifie à elle seule l’achat de la machine.
Plus sur Visicalc à http://en.wikipedia.org/wiki/VisiCalc
L’écran de lancement de la première version de WordPerfect pour Apple //. La première version de WordPerfect est rapide et facile à utiliser, mais elle ne fonctionne que sur les ordinateurs Data General, sous le système d’exploitation AOS et avec une imprimante Diabolo 1650. Durant les années 80, une grande part du travail de programmation sera consacrée à l’adaptation de WordPerfect aux divers systèmes d’exploitation et imprimantes du marché.
Plus sur WordPerfect à http://en.wikipedia.org/wiki/WordPerfect
Le TRS80 modèle un de Tandy. On parle souvent du succès de l’Apple// mais sans vouloir minimiser ce phénomène, c’est un peu l’arbre qui cache la forêt. Des dizaines d’entreprises fondées par des entrepreneurs en herbes ont innondé le marché, et les micro-ordinateurs qui se sont bien vendus entre 1978 et 1989 sont légion : du TRS80 de Tandy à l’Amiga de Commodore, ce sont des millions de machines qui ont trouvé leur marché et certaines comme l’Amiga ont encore un fan’s club de nos jours.
Plus sur le TRS80 de Tandy à http://fr.wikipedia.org/wiki/TRS-80
L’interface CP/M (ici tournant sous Commodore 128). En 1980, près de 200 micro-ordinateurs différents tournaient sous CP/M !
Plus sur CP/M à http://fr.wikipedia.org/wiki/CP/M
Le processeur Z80 tel qu’il était en 1976. Le Z80 venait de Zilog qui ne commercialisait pas de micro-ordinateur mais se contentait de fournir le processeur aux constructeurs qui voulaient l’acheter… Ce processeur Z80 connut une longue carrière puisqu’il fut même utilisé par les premières consoles de jeux portables de Nintendo. C’est l’apparition de processeurs bon marché tels que le Z80 ou le MOS 6502 qui ont permit l’avènement de la micro-informatique.
Plus sur le Z80 à http://fr.wikipedia.org/wiki/Zilog_Z80
Le processeur 8088 d’Intel. Avec le 8086, il s’agissait des deux premiers processeurs 16 bits d’Intel mais le 8088 était un « hybride » avec un cœur à 16 bits autour d’un bus à huit bits alors que le 8086 (plus récent à l’époque) était un « vrai 16 bits »…
Plus sur le 8088 d’Intel à http://fr.wikipedia.org/wiki/8088
William C. Lowe, celui qui fut à l’origine de l’IBM PC. Pour relever le défi (développer le PC en un an !), l’équipe de Bill Lowe a dû utiliser des méthodes de cow-boy, jeter par la fenêtre toutes ses procédures habituelles et faire les choses d’une manière différente. À commencer par se fournir en composants sur le marché extérieur et se contenter d’assembler un micro-ordinateur très ordinaire en fait.
Plus sur William C. Lowe à http://www-03.ibm.com/ibm/history/exhibits/builders/builders_lowe.html
Philip D. Estridge qui dirigea la division PC d’IBM jusqu’à sa mort en 1985 dans un accident d’avion. Bien plus que Bill Lowe peu connu, c’est Don Estridge la figure célèbre de la création de l’IBM PC…
Plus sur Philip Donald Estridge à http://en.wikipedia.org/wiki/Don_Estridge
La toute première version du PC d’IBM telle qu’elle a été lancée en 1981. Après le lancement réussi du premier PC, l’équipe initiale se retrouva plus ou moins dispersée et, forcément, la suite fut moins heureuse : flop du PC junior, le PC XT qui représente une évolution vraiment minime (et, dans le même temps, le PC 3270 qui est un mixte de PC et de terminal) et enfin, le PC AT qui est vraiment une évolution trop timide basée sur un des pires processeurs d’Intel, le 80286…
Plus sur l’IBM PC à http://en.wikipedia.org/wiki/IBM_PC
L’IBM PC Jr, lancé en 1984 pour $669. Moins cher que le PC mais deux fois plus cher qu’un Commodore 64 ou un Atari 800. Son clavier bas de gamme (sans fil, cependant) et son manque de slots d’extension ont été le sujet de nombreuses critiques.
Plus sur l’IBM PC Junior à http://en.wikipedia.org/wiki/IBM_PCjr
Le Compaq portable toute première version. Compaq a commencé son parcours par le « Compaq portable » (disponible à partir de janvier 1983) pour enchaîner avec le Deskpro en juin 1984. Le Compaq Deskpro était plus rapide que l’IBM PC XT tout simplement parce que Compaq n’avait pas hésité à utiliser une fréquence d’horloge plus élevée pour le processeur 8086 qui l’équipait.
Plus sur le Compaq Portable à http://en.wikipedia.org/wiki/Compaq_Portable
L’Olivetti M24, un compatible élégant et performant, preuve que les Européens étaient capables de suivre le mouvement… Dommage que ça n’ai pas duré !
Plus sur le M24 à http://www.old-computers.com/museum/computer.asp?c=535
L’IBM PS/2 modèle 80 ne faisait pas le poids face au Compaq Systempro. La gamme PS/2 fut dévoilée en avril 1987. Du point de vue d’IBM, le PS/2 était parfait : bien fermé, bardé de brevets, difficile à copier et permettant une marge plus élevée… Le problème était qu’il ne présentait aucun avantage réel pour les clients !
Plus sur l’IBM PS/2 à http://en.wikipedia.org/wiki/IBM_Personal_System/2
L’Apple///, le premier gros ratage de la firme à la pomme (une machine classique juste dérivée de l’Apple// qui, en plus, présentait des défauts de fabrication).
Plus sur l’Apple /// à http://en.wikipedia.org/wiki/Apple_III
L’Amstrad PC1512 (fonctionnant sous MS-Dos), un modèle bon marché qui connu un certain succès au milieu des années quatre-vingt.
Plus sur l’Amstrad 1512 à http://en.wikipedia.org/wiki/Amstrad_1512
La Xerox Star, son traitement de texte et son imprimante Laser… La première illustration concrète du concept du WISIWIYG (what you see is what you get ou « tel qu’affiché, tel qu’imprimé »). Mais la Star se vendit mal. D’une part, le marché du « travailleur de la connaissance » qui était visé par le système n’existait pas encore en 1981 et, d’autre part, la STAR était vendue bien trop chère : car ce produit n’était pas destiné à être vendu comme une machine isolée mais bien comme un système (le « Xerox personal office system »). Ci fait qu’une simple unité était affichée à $16 000, l’offre typique comprenait deux ou trois stations avec un serveur de fichier et un serveur d’impression… Faire dépenser $50 000 à $100 000 pour une installation complète n’était pas une vente facile quand on songe que le salaire annuel d’une secrétaire tournait autour de $12000 !
Plus sur le Xerox Star à http://en.wikipedia.org/wiki/Xerox_Star
La Lisa (version 1) n’était pas aussi élégante que le Macintosh, on s’en rend bien compte ici. Après bien des retards et des péripéties, Apple dévoila enfin le Lisa le 19 janvier 1983. Cette machine ressemblait plus à une station de travail qu’à un micro-ordinateur de l’époque : comme les stations de travail, elle avait une interface graphique et comme les stations de travail, elle coûtait cher, bien trop cher pour le marché visé : $10 000 !
Plus sur l’Apple Lisa à http://en.wikipedia.org/wiki/Apple_lisa
La toute première version commercialisée du Macintosh avec son lecteur de disquette externe supplémentaire et indispensable. Le 24 Janvier 1984, Steve Jobs dévoile l’Apple Macintosh au public. L’ordinateur se présentera lui-même en disant « Hello, I am Macintosh and I am glad to be out of that bag ».
Plus sur l’Apple Macintosh première version à http://en.wikipedia.org/wiki/Macintosh_128K
Même si la firme a la pomme a été cofondée par Steve Jobs et Steve Wozniak, c’est Jobs qui l’a le plus influencée. Steve Wozniak a été le génie de l’électronique qui a conçu l’Apple I et //, mais son rôle s’est arrêté ici. Jobs, par contre, a façonné la culture Apple tout au long des années.
Plus sur Apple Inc. à http://fr.wikipedia.org/wiki/Apple
Steve Wozniak et Steve Jobs, deux cow-boys, ex-hippies qui ont fondé une compagnie résoluement anti-establishment et anti-IBM… Remarquez la boucle de ceinture de Woz, stylé !
Plus sur Steve Jobs à http://fr.wikipedia.org/wiki/Steve_Jobs et sur Steve Wozniak à http://fr.wikipedia.org/wiki/Steve_Wozniak
Les PDGs d’Apple qui se sont succédés après que Steve Jobs soit viré en 1985… De gauche à droite : John Sculley, Micheal Spindler et Gil Amelio. Le premier a viré Steve et le dernier l’a remis en selle en lui rachetant NeXT… et s’est fait virer par Jobs !
Plus sur John Sculley à http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Sculley
Plus sur Michael Spindler à http://en.wikipedia.org/wiki/Michael_Spindler
Plus sur Gil Amelio à http://fr.wikipedia.org/wiki/Gil_Amelio
Tony Fadell, l’homme qui apporta l’idée de l’iPod à Apple. C’est Tony Fadell, alors un contractant indépendant, qui a eu en 2001 la vision d’un baladeur MP3 lié avec une plate-forme de vente de musique. Lui et son partenaire ont frappé à de nombreuses portes pour vendre leur idée. Mais seul Apple a été intéressé et a rapidement embauché Fadell.
Plus sur Tony Fadell à http://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Fadell
Le Compaq SystemPro, le premier serveur PC digne de ce nom. Les serveurs basés sur des PC ont commencé à apparaitre avec le processeur Intel 386 et c’est Compaq qui montra la voie avec le SystemPro, mis sur le marché en novembre 1989.
Plus sur le Compaq Systempro à http://en.wikipedia.org/wiki/Compaq_SystemPro
Michael Dell, fondateur de la société qui porte son nom et inventeur d’une nouvelle façon d’assembler et de vendre des PC. Assembleur de PC, ce n’était pas très compliqué et on pouvait le faire à peu de frais, Michael Dell l’a prouvé en démarrant sa société depuis sa chambre d’étudiant comme le dit sa légende.
Plus sur Michael Dell à http://fr.wikipedia.org/wiki/Michael_Dell
Un disque dur Seagate, vue interne. Dans le domaine des disques durs, Seagate a été le nouveau géant, fabriquant des disques 5″25. Des fabricants de disques 8″, seul Micropolis a réussi à s’installer sur ce marché. Quantum, quant à lui, a fait l’impasse sur les disques 5″25 mais s’est rattrapé avec l’arrivée du marché des disques 3″5 destinés aux PC portables.
Plus sur Seagate à http://fr.wikipedia.org/wiki/Seagate_Technology