Notre société humaine est désormais divisée en deux bords, deux extrêmes qui s’éloignent l’une de l’autre, progressivement mais inexorablement.
Vous allez me dire, ce n’est pas nouveau !
En effet, depuis qu’on étudie le “champ sociétal”, on aime à le séparer en entités distinctes : les riches et les pauvres, les progressistes et les conservateurs, les écolos et les pollueurs et ainsi de suite, vous m’avez compris.
Mais on n’en est plus là aujourd’hui. Un des deux bords, qui compte encore la majorité des gens (et largement), représente la conformité (ceux de ce bord diraient même la “normalité”). Dans ce groupe, ces gens croient à la parole officielle (la doxa), ils ne la remettent pas en doute. Ils râlent éventuellement mais ils se conforment, y compris aux injonctions les plus intrusives comme les injections de produits douteux sous couvert d’une “science” inféodée à Big Pharma.
Le second bord est celui de la liberté. Ce groupe est encore minoritaire mais grandit chaque jour un peu plus. Les membres de ce groupe rejettent la doxa et ses zélateurs (les principaux médias). Ce n’est pas une position facile car la puissance publique utilise tous les moyens à sa disposition (pressions statutaires, ostracisation, restrictions d’actions et de mouvement) pour “faire rentrer dans le rang” ces récalcitrants qui gâchent le bel alignement.
Ce que nous avons vu de choquant sans y croire depuis cinq ans
Eh oui, cela fait au moins cinq ans que nous avons basculé dans une France difficile à reconnaître !
Nous avons vu la violence publique s’abattre sur les gilets jaunes, une répression d’une brutalité que l’on ne pouvait imaginer s’est déchainée sur des protestataires qui ne représentaient un danger pour personne. Moi comme d’autres, nous n’en sommes pas encore revenus… Cette violence, cette répression, cette brutalité envers un groupe aussi inoffensif, c’était plus que choquant, c’était incroyable !
Puis nous avons eu la fameuse “Crise sanitaire” et son cortège de mesures absurdes : privation des libertés, contraintes risibles et inefficaces (tous s’en souviennent avec un peu d’embarras : comment as-t-on pu supporter un gouvernement aussi inepte ?), sans oublier la coercition insidieuse sur ceux (rares) qui relevaient courageusement que, vraiment, quelque chose n’allait pas. Et bien sûr, les fameux vaccins miracles sont arrivés : 100% efficaces et 100% sûrs… Combien de fois avons-nous entendu cela ?
Mais, bien sûr, ces “vaccins expérimentaux” obligatoires n’ont pas été efficaces et ils ont produit de nombreux effets secondaires incontestables (sans parler des morts subites, le tout dans un silence médiatique assourdissant).
Tout cela s’est accompagné d’une propagande des médias permanente et abrutissante. Et comme cela ne suffisait pas, nous avons découvert que les principaux réseaux sociaux pratiquaient une censure systématique, même sur les contenus factuels basés sur les chiffres officiels !
Si on m’avait dit que Facebook, Youtube et Linkedin (pour ne citer qu’eux) deviendraient des collaborateurs zélés de la puissance publique, je ne l’aurais pas cru (tout comme je jugeais impossible -à tort !- la violence sur les gilets jaunes…). Avec tout cet appareil oppressant, se faire traiter de complotiste est devenu un badge d’honneur : depuis cinq ans, pratiquement tout ce que les soit-disant complotistes ont annoncé et dénoncé s’est avéré exact… Sans que les médias le reconnaissent, bien sûr. Ce silence complice démontre s’il en était besoin que ces “journalistes” sont à fond du côté du système, poussent la propagande officielle même quand cette dernière est absurde (comme on a pu le voir à maintes reprises lors des reportages sur la guerre en Ukraine) et sont donc sans doute possible des ennemis du peuple.
Une France méconnaissable
Oui, je n’exagère même pas en écrivant que nous avons basculé dans une France que nous ne reconnaissons pas. Passe encore de la corruption, du gaspillage de l’argent public, des emplois fictifs et autres abus, nous faisons désormais face à une puissance publique hostile, agressive et sans contrôle. En plus, tout cela se produit en même temps que la dégradation manifeste de nos infrastructures publiques : après les déserts médicaux (une pénible réalité dès qu’on s’éloigne des grands centres urbains), nous devons désormais faire face aux déserts administratifs où il devient de plus en plus difficile de faire renouveler une simple pièce d’identité !
Cela sans même évoquer la fiscalité toujours plus écrasante ou l’Education Nationale qui se perd dans les débats sur le genre alors que les résultats des tests des élèves n’a jamais été si bas. Comme si tout était fait pour exacerber la frustration du peuple et exciter l’envie de révolte des classes laborieuses.
Plus jamais cela, la grande illusion
Pendant des décennies, on nous a rabâché “plus jamais cela” en pointant les années d’occupation et de collaboration de triste mémoire. Mais voilà qu’il a suffit d’une crise sanitaire pour que toutes ces résolutions solennelles soient aussitôt oubliées et foulées aux pieds. Les médias ont organisé une opposition exacerbée entre les vaccinés et les non-vaccinés. Ces derniers étaient désignés à la vindicte du bon peuple et certains (dont une majorité d’artistes connus, on ne va pas les oublier…) s’en sont donné à cœur-joie d’une manière écoeurante, rappelant ainsi les sombres heures de la collaboration. On croyait donc (à tort) qu’on ne reverrait pas de telles bassesses mais, comme je l’ai souligné plus haut, la France d’aujourd’hui ne ressemble plus à la France à laquelle nous étions tous habitués.
Une certaine résistance est en train de se former
Justement, certains ont compris qu’il fallait arrêter de subir et d’obéir aveuglement. Que cet État n’était plus là que pour nous abaisser et nous contraindre d’accepter l’inacceptable. Bien entendu, qualifier ce mouvement de “résistance” fait inévitablement penser aux FFI (Forces Françaises de l’intérieur, la résistance unifiée à partir du 1er juin 1944). Notre modeste mouvement n’est évidemment pas comparable avec la résistance des patriotes lors de l’occupation de notre pays. Nous n’en sommes pas à prendre les armes mais l’idée de la liberté qui nous guide est la même.
Et pourtant, notre génération de”boomers” a été élevée avec le respect des institutions comme horizon indépassable. Quand j’étais jeune, les soit-disant révolutionnaires (genre les leaders de mai 68 dont le sociologue Michel Clouscard a démontré qu’ils n’étaient que des sociaux-traîtres au final) me semblaient tout à fait à côté de la plaque. Jamais je n’aurais imaginé qu’un gouvernement français ferait preuve de cette hostilité poisseuse envers son propre peuple.
Jamais je n’aurais pu imaginer que j’écrirais un jour un texte comme celui-là. Ce n’est pourtant pas moi qui ai changé mais les masques autour de nous qui sont tombés.
Des trahisons récentes et significatives
S’il fallait encore une preuve que le système global nous est hostil et agressif, il suffit de constater les trahisons qui se multiplient, même de la part des institutions que nous pouvions imaginer impartials : l’appel récent du pape en faveur de l’accueil des réfugiés ou le prix Nobel de médecine attribué aux découvreurs des fameux “vaccins” ARN devraient achever de nous convaincre qu’il n’y a rien à attendre des maillons du système qui nous encercle et nous enferme.
Il n’y a rien non plus à espérer de la collusion des médias mainstream et des réseaux sociaux. Ces derniers ont prouvé maintes fois qu’ils étaient résolument du côté du manche.
La guerre comme ultime recours
L’Histoire l’a montré souvent (trop souvent), les systèmes politiques en déliquescence ont recours à la guerre pour prolonger leur domination. Et justement, les guerres se multiplient ces derniers temps comme vous avez pu le remarquer. Pour les hiérarques du système, la guerre ne présente que des avantages : tout d’abord, ce ne sont pas eux qui les mènent (!), ensuite ça permet de mobiliser les masses pour une “juste cause”, ça permet d’écouler le matériel militaire et ainsi de pouvoir en vendre plus à ceux qui ont les moyens de payer et enfin ça justifie une propagande débridée qui se résume toujours “eux contre nous” et “nous sommes du côté du bien” ce qui est évidemment mensonger dans tous les cas.
En revanche, pour les peuples, la guerre est une perte nette sur tous les plans.
Inventons notre résistance
Notre résistance, nous devons l’inventer nous-mêmes avec nos propres moyens. Mais nous avons une certitude : le temps joue pour nous. En effet, aucun système oppressif ne dure toujours. Tout comme les monopoles finissent toujours par être balayés, les dictatures soit-disant douces qui nous oppriment ne résisteront pas à l’usure du temps et à l’opposition des peuples.
Le combat sera long, il sera amer mais il est inévitable que nous soyons vainqueurs car ceux qui nous oppriment n’ont pas de base solide. Sinon, pourquoi seraient-ils obligés de faire appel aux mensonges systématiques de la propagande pour justifier toutes leurs actions ?
Il ne s’agit donc pas de proclamer que nous allons triompher parce que nous sommes les plus forts mais plutôt parce que nous sommes du côté du bien. Car se battre pour sa liberté, c’est toujours être du côté du bien.