Je participe activement à un projet initié par mon épouse : un livre sur l’école à la maison.
« L’école à la maison » est un concept assez neuf en France et peu répandu (même si c’est en croissance dernièrement). Nous avons pratiqué « l’instruction en famille » (l’autre nom pour « école à la maison ») depuis 10 ans et ma femme tenait un blog de nos expériences quotidiennes menées avec nos fils.
C’est le contenu issu de ce blog que nous avons repris pour faire ce livre.
L’auteur de ce livre, c’est ma femme mais, comme pour son précédent ouvrage (La Pédagogie Montessori Illustrée) j’ai participé un peu au niveau de l’articulation du contenu. Cette fois, je suis allé plus loin dans mon implication car je me suis également occupé de la mise en page. Oui, car comme pour « La Pédagogie Montessori Illustrée », nous allons d’abord diffuser cet ouvrage en auto-édition (la seconde édition de « La Pédagogie Montessori Illustrée » a été reprise par un éditeur traditionnel).
L’auto-édition est aujourd’hui bien plus accessible qu’il y a quelques années. J’ai déjà diffusé « Racing » en auto-édition et on commence à avoir un peu de recul sur cette pratique. Pour notre livre actuel (dont le titre sera « 365 jours d’école à la maison », voir à www.ecolealamaison.org), l’ambition en terme de mise en page était élevée puisque le livre est abondamment illustré : plusieurs centaines de photos sont présentes dans les pages de « 365 jours d’école à la maison ».
Cela n’a pas été facile car j’ai du faire face à la complexité de la mise en page lorsqu’on veut que les images soit partie intégrante du contenu et non rejettées dans un cahier central comme cela se pratique souvent dans les livres de type biographie par exemple. Là, il s’agissait de caler le texte autour de 2 voire 3 photos par page et cela était long et difficile.
Long parce que l’ouvrage fait presque 200 pages (196 exactement) et difficile parce qu’une modification au milieu d’un chapitre oblige à reprendre tout le calage du chapitre à partir du changement… Long et pénible !
Cela ma pris un bon mois alors que je pensais initialement boucler cela en deux semaines.
C’est Frédéric Box (www.profilbox.com) qui s’occupe de la couverture et il ne nous reste plus qu’à trouver un imprimeur compétitif et, bien sûr, à vendre le livre !
Quelques morceaux choisis du livre pour vous donner une idée… Ci-dessous, un ensemble de photos d’écrans (46) de la version de travail (prise courant janvier 2009).
Avec quel logiciel as-tu réalisé cette mise en pages très sympathique ? …
Pages (Apple Mac OS).
Waow… très belle mise en page. J’veux un Mac !!! Trêve de plaisanterie… excellent travail Alain. Bravo ! dès qu’il est en vente, fais un signe 😉
Question pour alefebvre si dans l’entreprise ou je travail les applications tournent sur PC et système Windows et les clients aussi comment faire alors que je suis d’accord que Mac ou linux c’est mieux……
Bonjour,
Je viens de lire votre page. Je voudrais vous féliciter pour ce travail!
En effet, je cherche à éditer un livre sous Pages, mais je ne suis pas douée comme vous.
Vous serait-t-il possible de me faire parvenir votre feuille de style? Ce serait pour moi un cadeaux des cieux!
Merci d’avance.
Bien cordialement,
Claudia Poncioni
Université Paris Ouest Nanterre
Bonjour Claudia,
Vous allez être surprise mais je n’ai PAS utilisé de feuille de style dans le cas présent !
En effet, j’ai utilisé autant que possible les fonctions de mise en page de « Pages » mais sans pour autant passer par la définition d’une feuille de style.
Pour ma prochaine mise en page, je vais passer par Adobe InDesign qui est plus approprié comme logiciel pour ce genre de tache. C’est également avec Page que j’ai effectué la mise en page du livre sur Soheil Ayari mais ce dernier était bien plus facile à « habiller » que « 365 jours d’école à la maison » car il avait moins de photos…