Depuis la trop fameuse “crise sanitaire” qui était, en réalité, une “expérience sociale d’obéissance à grande échelle” (relisez ces mots, ils sont lourdement significatifs…) comme le souligne le rapport récent publié par le CNRS (je n’invente rien, hélas, allez le lire !), nous vivons dans un déferlement de propagande qui rappelle des heures sombres des deux premières mondiales (avec toutes les exagérations, les dramatisations et, disons-le, les mensonges qui accompagnent inévitablement les opérations de propagandes, quel qu’en soit le camp d’origine).
Nous avons pu constater que les médias sociaux comme YouTube, Facebook, Twitter et Linkedin (pour ne nommer que ceux-ci) ont pratiqué et pratiquent encore (sauf pour Twitter depuis qu’il est devenu X) une censure à grande échelle, arbitraire (oui, je sais, c’est le propre de la censure mais je crois nécessaire d’insister) et impitoyable. On pouvait penser que, du côté des médias de “divertissement” cela serait différent. Eh bien, je viens de réaliser qu’il n’en était rien et que Netflix fait partie de la bande sans aucun complexe.
En effet, il suffit de regarder le documentaire “Turning Point : l’arme nucléaire et la guerre froide” pour s’en rendre compte. J’ai rarement pu voir un contenu aussi dégoulinant de propagande que ce truc…
Pour s’en convaincre, il suffit de regarder qui est interrogé : le clown Volodymyr Zelensky et l’horrible Condoleezza Rice (j’espérais bien ne plus jamais revoir cette harpie…). Je vais vous résumer rapidement ce “documentaire”, ça vous évitera un visionnage pénible : la guerre froide a commencé à cause des Russes a heureusement été gagnée par ces nobles américains et c’est l’affreux Poutine (souvenons-nous que Poutine, c’est le diable… un petit rappel toujours utile) qui l’a réenclencha en envahissant l’Ukraine, point final.
Si, à ce stade, il n’y a rien qui vous dérange dans cette simplification historique express… Hé bien, je ne peux rien pour vous et vous vous êtes trompé de blog.