Après les tartuffes, voilà les « jamais-contents » !

J’ai souvent pointé du doigt la nocivité des tartuffes, ces hypocrites qui occupent la scène médiatique avec leur politiquement-correct de façade.

Mais voilà que je dois ajouter une nouvelle catégorie sociétale dans les nocifs qui nous pourrissent la vie : les jamais-contents !

Pour définir les jamais-contents, il suffit de se pencher sur les débats stériles qui agitent nos sociétés développées comme celui sur la cigarette électronique. Je fais partie de ceux qui ont toujours combattu l’usage du tabac et je dois donc saluer le progrès notable que représente la cigarette électronique. Mais, pour certains, ça ne sera jamais suffisant. Au lieu de se réjouir du progrès réel qu’apporte le vapotage, les tristes jamais-contents vont poser la question le plus sérieusement du monde : et si cette nouvelle cigarette (qui n’a rien en commun avec l’ancienne, faut quand même le reconnaitre à un moment !) était aussi nocive (voir plus pendant qu’on y est, hein !) que l’ancienne ?

C’est débile, mais les médias ne résistent pas à ce genre de questionnements et ils les relaient avec gourmandise… Je vais vous dire pourquoi ce type de débat qui, si on était entre gens sérieux, ne devrait pas passer le stade de bavardages stériles entre mou du bulbe. C’est parce que le sevrage du tabac perturbe tellement de monde qu’on trouve toujours des tartuffes et des jamais-contents pour remettre en cause, à coup d’arguments de sophistes, cette évolution positive.

Même chose pour le débat épique concernant la voiture électrique. Certains n’hésitent pas à prétendre qu’elle est, finalement, aussi polluante que celle à moteur thermique… ben voyons !

Alors, c’est sûr, pour les voitures électriques, il faudra produire de l’électricité. Et si cette production est polluante, on peut penser qu’on a pas beaucoup avancé… Et les batteries, tu as pensé aux batteries ?

Elles aussi sont source de pollution, d’utilisation dantesque de ressources rares et ainsi de suite… ça y est, c’est tout ?

Tout cela est vrai, mais je ne peux m’empêcher d’avoir un gros doute sur la sincérité de ces critiques quand j’en vois l’origine… Si c’est PSA qui mène la charge contre la voiture électrique, je comprends mieux : les tartuffes donnent des armes aux jamais-contents, voilà, tout s’explique.

Rappelons-nous que ce sont les gens de PSA (et en particulier Jacques Calvet de sinistre mémoire) qui ont fait le lobbying nécessaire pour nous imposer la mode du diesel dont a désormais un mal fou à se débarrasser (et pour toux ceux qui ont du mal à revendre leurs voitures diesel pourries, je dis : bien fait !).

Car, à un moment, faut quand même comparer ce qui est comparable : la voiture thermique émet des polluants en fonctionnant, la voiture électrique n’en émet pas, point.

Ceci dit, si ça amuse les jamais-contents de couper les cheveux en quatre dans des débats stériles avec des arguments de sophistes, grand bien leur fasse !
Mais en silence, svp…

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Un choix actuel possible : la VR (virtual reality) pour vos jeux-vidéo.

Quand on regarde l’actualité des jeux-vidéo, la VR est partout !

Du coup, j’ai voulu savoir ce qu’il en était dans mon domaine préféré : le SimRacing.

J’ai donc fait le grand saut (tardivement) et je me suis acheté un masque Oculus Rift CV1. Pour le faire fonctionner, il faut un PC puissant… J’ai donc renouvelé le mien, profitant de cette exigence pour vivre une expérience intéressante : assembler moi-même mon PC de « gamer » (si ça vous intéresse, c’est à lire ici => http://www.histoireinformatique.com/assembler-son-propre-pc-cest-desormais-assez-facile/).

Bref, qu’est-ce que ça vaut, alors ?

Eh bien, la réponse est très variable… Tout d’abord, toutes nos simulations ne traitent pas ce mode de visualisation de la même façon : certaines le font très bien (je pense en particulier à PCARS2 et à Raceroom), d’autres le font moins bien (et là, je pense à Assetto Corsa et à rFactor2). C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les menus : seul PCARS2 ne vous impose pas d’être en VR (pour naviguer dans les options, les choix, les menus) tout le temps et, croyez-moi, c’est bien plus confortable ainsi. Pareil sur le plan du rendu graphique : certains donnent facilement une bonne image (nette et fluide) alors que d’autres demandent à beaucoup travailler avant d’obtenir un résultat plus ou moins satisfaisant. Là encore, on retrouve à peu près le même classement : PCARS2 et Raceroom (ainsi que iRacing) dans les bons élèves et AC plus rFactor2 dans les moins bons.

Les réglages spécifiques « VR » dans PCARS2

Bien entendu, ces opinions sont hautement discutables et je suis certains que les fans de telle ou telle simulation vont dire « n’importe quoi ! Xxx est vraiment au top en VR ! » et il ne tient qu’à vous de choisir qui croire.

Mais, en matière de VR, la vraie question n’est pas qui est meilleure que l’autre, car toutes les simulations se valent plus ou moins quand il s’agit de juger du résultat. La vraie question est plutôt « est-ce que ça vaut le coup ? » et « qu’est-ce que ça apporte ? ». Essayons d’y répondre sans mettre trop d’émotion dans ces sujets…

Est-ce que ça vaut le coup ?

Eh bien, pour vraiment répondre à cette question, il faut considérer tous les paramètres : coûts supplémentaires (incontestables même si le matériel tend à baisser de prix, comme toujours en ce qui concerne l’électronique grand-public), complexité du paramétrage (au rdv, vous pouvez me croire : quelle que soit la simulation considérée, vous allez passer du temps dans les réglages et ça à tous les étages !) et apport final au niveau de l’immersion, mais aussi de la performance. Et, disons-le tout de suite, si vous espérez aller plus vite grâce à la VR, vous pouvez repasser !

Dirt Racing en VR avec iRacing… Grandiose !

Au contraire, j’ai plutôt constaté que j’étais plus lent, bien plus lent, surtout au début. Je pense qu’avec le temps et l’habitude, on peut rattraper cela, mais il est vain d’espérer un gain de performances avec cet équipement… Mais, peut-être suis-je une (triste) exception et que vous trouverez de nombreux pilotes pour vous affirmer que la VR leur a permis de gagner plus d’une seconde au tour !

Mais, franchement, j’en doute…

En revanche, du côté de l’immersion et des sensations, la promesse est effectivement au rendez-vous !

Parfois trop d’ailleurs… En effet, si vous n’avez pas les bons réglages (mettez tous les effets de caméra à zéro !), vous allez rapidement éprouver une sensation de malaise bien connue : c’est le trop fameux « motion sickness » (mal de mer) qui vient de frapper !

Il est donc important de passer du temps sur ce point afin de ne pas gâcher l’expérience (ceci dit, j’ai tout de même l’impression que la sensation d’inconfort reste toujours un peu… il faut le savoir !). Il y a quand même un inconvénient majeur de la VR et qui est spécifique au SimRacing… La profondeur de champ. Je m’explique : en VR, la définition n’est pas aussi bonne que sur nos écrans traditionnels (ça va s’améliorer à l’avenir, mais, aujourd’hui, même avec le supersampling et toutes les bidouilles mises en avant ça et là, ça reste médiocre, il faut le savoir). Du coup, on a du mal à voir loin… Et c’est un vrai problème quand on cherche son repère de freinage !

Les panneaux restent flous longtemps alors qu’on arrive vite dessus… Vous voyez (façon de parler) le problème !

Le seul cas où ce défaut n’est pas trop gênant c’est sur les ovals. J’ai essayé les ovals de terre battue sur iRacing et je dois avouer que j’ai adoré l’expérience : VR ou pas VR dans ce cas, la glisse en travers est tout à fait grisante (ça m’évoque le jeu « World of outlaws » d’il y a quelques années… quoi, 2002, déjà ?). Mais, dans ce contexte, la VR et son défaut ne sont pas du tout gênants et je dirais même que c’est mieux en VR (plus facile de voir le bord intérieur).

Mais ce contexte « oval sur terre » reste tout de même une exception et pour la piste, la VR va représenter plutôt un handicap qu’un avantage.

Une immersion totale !

En revanche, sur le plan de l’immersion, disons-le, y a pas mieux !

C’est même assez surprenant de réalisme et, pour une fois, j’en ai la preuve… Laissez-moi vous raconter cela : en 2001, je faisais le championnat Arcobaleno en monoplace (où j’ai finalement terminé second) et la dernière manche se déroulait à Magny-cours, une piste sur laquelle je n’avais jamais roulé en vrai. Je me suis donc longuement entrainé sur ce tracé avec F1 2000 (de EA Sports). J’ai vraiment accumulé les tours dans toutes les conditions pour apprendre Magny-cours dans ces moindres détails grâce à cette simulation.

Mais, une fois sur le vrai circuit avec ma monoplace, j’ai été plutôt surpris : la piste était bien plus large que dans ma perception avec la simulation !

F1 2000 était pourtant assez fidèle, mais ma perception n’était pas la même… à cause du champ de vision limitée. Et c’est justement en essayant la VR pour la première fois que je me suis rendu compte de l’importance de ce critère : à Laguna Seca avec Assetto Corsa, j’ai ressenti exactement la même chose qu’à Magny-cours en 2001 !

En VR, la perception du relief est également accentuée (surtout à Laguna Seca où il a vraiment un effet « roller coaster »). Tout cela renforce l’immersion de façon intense. Du coup, on sort facilement en nage d’une session de pilotage avec le masque sur la figure… On va bientôt pouvoir parler de eSport avec raison…

Ma recommandation

Au final, est-ce que je recommande de passer à la VR ou pas ?

C’est un choix difficile, mais, dans l’état actuel de la technique et si c’est seulement pour le simracing, ce serait plutôt non. En dépit de tout le positif que je viens d’écrire sur le sujet, les défauts inhérents (définition médiocre, réglages intensifs, motion sickness) font plutôt pencher la balance sur « abstention » que sur « engagement » selon moi.

En revanche, il y a d’autres cas où la VR est simplement géniale et sans restriction !
Prenez Google Earth par exemple : la version VR est gratuite et pleine d’intérêt…

Une soirée sur Google Earth organisée pour faire découvrir la VR a mes amis américains…

Et la VR montre pleinement son intérêt quand vous utilisez des jeux qui ont été réalisés spécifiquement pour elle. Le meilleur exemple (à mon avis), c’est clairement VTOL VR. Cette simulation d’avion est une merveille qui ne peut être utilisée qu’en VR et qui tire totalement parti de tout ce que la VR peut offrir (y compris de ce passer d’accessoires spéciaux !)…

Avec VTOL VR, vous redécouvrez le plaisir de voler en simulation dans un environnement « total ». Bref, la VR, ce n’est que le début et on a pas fini d’en parler !

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Un choix actuel possible : la VR

Désormais, la réalité virtuelle (VR) est suffisamment prise en compte par la plupart de nos simulations (seule Automobilista résiste encore…) pour que la question mérite d’être posée crûment : cela vaut-il le coup ?

Et même « est-ce aussi fantastique que ce que je peux lire ça et là ou voir sur YouTube ? »… Questions légitimes s’il en est !

Pour répondre à ces importantes questions, j’ai fait le grand saut (tardivement) et je me suis acheté un masque Oculus Rift CV1. Pour le faire fonctionner, il faut un PC puissant… J’ai donc renouvelé le mien, profitant de cette exigence pour vivre une expérience intéressante : assembler moi-même mon PC de « gamer » (si ça vous intéresse, c’est à lire ici => http://www.histoireinformatique.com/assembler-son-propre-pc-cest-desormais-assez-facile/).

Bref, qu’est-ce que ça vaut, alors ?

Eh bien, la réponse est très variable… Tout d’abord, toutes nos simulations ne traitent pas ce mode de visualisation de la même façon : certaines le font très bien (je pense en particulier à PCARS2 et à Raceroom), d’autres le font moins bien (et là, je pense à Assetto Corsa et à rFactor2). C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les menus : seul PCARS2 ne vous impose pas d’être en VR (pour naviguer dans les options, les choix, les menus) tout le temps et, croyez-moi, c’est bien plus confortable ainsi. Pareil sur le plan du rendu graphique : certains donnent facilement une bonne image (nette et fluide) alors que d’autres demandent à beaucoup travailler avant d’obtenir un résultat plus ou moins satisfaisant. Là encore, on retrouve à peu près le même classement : PCARS2 et Raceroom (ainsi que iRacing) dans les bons élèves et AC plus rFactor2 dans les moins bons.

Les réglages spécifiques « VR » dans PCARS2

Bien entendu, ces opinions sont hautement discutables et je suis certains que les fans de telle ou telle simulation vont dire « n’importe quoi ! Xxx est vraiment au top en VR ! » et il ne tient qu’à vous de choisir qui croire.

Mais, en matière de VR, la vraie question n’est pas qui est meilleure que l’autre, car toutes les simulations se valent plus ou moins quand il s’agit de juger du résultat. La vraie question est plutôt « est-ce que ça vaut le coup ? » et « qu’est-ce que ça apporte ? ». Essayons d’y répondre sans mettre trop d’émotion dans ces sujets…

Est-ce que ça vaut le coup ?

Eh bien, pour vraiment répondre à cette question, il faut considérer tous les paramètres : coûts supplémentaires (incontestables même si le matériel tend à baisser de prix, comme toujours en ce qui concerne l’électronique grand-public), complexité du paramétrage (au rdv, vous pouvez me croire : quelle que soit la simulation considérée, vous allez passer du temps dans les réglages et ça à tous les étages !) et apport final au niveau de l’immersion, mais aussi de la performance. Et, disons-le tout de suite, si vous espérez aller plus vite grâce à la VR, vous pouvez repasser !

Dirt Racing en VR avec iRacing… Grandiose !

Au contraire, j’ai plutôt constaté que j’étais plus lent, bien plus lent, surtout au début. Je pense qu’avec le temps et l’habitude, on peut rattraper cela, mais il est vain d’espérer un gain de performances avec cet équipement… Mais, peut-être suis-je une (triste) exception et que vous trouverez de nombreux pilotes pour vous affirmer que la VR leur a permis de gagner plus d’une seconde au tour !

Mais, franchement, j’en doute…

En revanche, du côté de l’immersion et des sensations, la promesse est effectivement au rendez-vous !

Parfois trop d’ailleurs… En effet, si vous n’avez pas les bons réglages (mettez tous les effets de caméra à zéro !), vous allez rapidement éprouver une sensation de malaise bien connue : c’est le trop fameux « motion sickness » (mal de mer) qui vient de frapper !

Il est donc important de passer du temps sur ce point afin de ne pas gâcher l’expérience (ceci dit, j’ai tout de même l’impression que la sensation d’inconfort reste toujours un peu… il faut le savoir !). Il y a quand même un inconvénient majeur de la VR et qui est spécifique au SimRacing… La profondeur de champ. Je m’explique : en VR, la définition n’est pas aussi bonne que sur nos écrans traditionnels (ça va s’améliorer à l’avenir, mais, aujourd’hui, même avec le supersampling et toutes les bidouilles mises en avant ça et là, ça reste médiocre, il faut le savoir). Du coup, on a du mal à voir loin… Et c’est un vrai problème quand on cherche son repère de freinage !

Les panneaux restent flous longtemps alors qu’on arrive vite dessus… Vous voyez (façon de parler) le problème !

Le seul cas où ce défaut n’est pas trop gênant c’est sur les ovals. J’ai essayé les ovals de terre battue sur iRacing et je dois avouer que j’ai adoré l’expérience : VR ou pas VR dans ce cas, la glisse en travers est tout à fait grisante (ça m’évoque le jeu « World of outlaws » d’il y a quelques années… quoi, 2002, déjà ?). Mais, dans ce contexte, la VR et son défaut ne sont pas du tout gênants et je dirais même que c’est mieux en VR (plus facile de voir le bord intérieur).

Mais ce contexte « oval sur terre » reste tout de même une exception et pour la piste, la VR va représenter plutôt un handicap qu’un avantage.

Une immersion totale !

En revanche, sur le plan de l’immersion, disons-le, y a pas mieux !

C’est même assez surprenant de réalisme et, pour une fois, j’en ai la preuve… Laissez-moi vous raconter cela : en 2001, je faisais le championnat Arcobaleno en monoplace (où j’ai finalement terminé second) et la dernière manche se déroulait à Magny-cours, une piste sur laquelle je n’avais jamais roulé en vrai. Je me suis donc longuement entrainé sur ce tracé avec F1 2000 (de EA Sports). J’ai vraiment accumulé les tours dans toutes les conditions pour apprendre Magny-cours dans ces moindres détails grâce à cette simulation.

Mais, une fois sur le vrai circuit avec ma monoplace, j’ai été plutôt surpris : la piste était bien plus large que dans ma perception avec la simulation !

F1 2000 était pourtant assez fidèle, mais ma perception n’était pas la même… à cause du champ de vision limitée. Et c’est justement en essayant la VR pour la première fois que je me suis rendu compte de l’importance de ce critère : à Laguna Seca avec Assetto Corsa, j’ai ressenti exactement la même chose qu’à Magny-cours en 2001 !

En VR, la perception du relief est également accentuée (surtout à Laguna Seca où il a vraiment un effet « roller coaster »). Tout cela renforce l’immersion de façon intense. Du coup, on sort facilement en nage d’une session de pilotage avec le masque sur le figure… On va bientôt pouvoir parler de eSport avec raison…

Ma recommandation

Au final, est-ce que je recommande de passer à la VR ou pas ?

C’est un choix difficile, mais, dans l’état actuel de la technique, ce serait plutôt non. En dépit de tout le positif que je viens d’écrire sur le sujet, les défauts inhérents (définition médiocre, réglages intensifs, motion sickness) font plutôt pencher la balance sur « abstention » que sur « engagement » selon moi.

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Les pistes de Floride avec une 125 YZ…

Quand je suis allé à Dania Beach pour l’expo vintage, j’avais repéré au passage le parc « Florida tacks and trails » perdu à l’est de Punta Gorda… FTT propose tous les espaces de « récréations » qui plaisent aux grands enfants que sont les adultes américains : Paint ball, drone, plan d’eau, parc pour les RV (recreational vehicule, les gigantesques motor-homes que les Américains, qui aiment faire du « camping » dans la « grande nature » adorent…) et, bien sûr, circuits de moto-cross et pistes d’enduro. Les circuits et pistes sont nombreuses à FTT. J’ai laissé de côté les différents circuits de moto-cross (je n’étais pas venu ici pour me mesurer aux vrais crossmen qui faisaient des sauts impressionnants) et je me suis naturellement dirigé vers les « pistes d’enduro » sinueuses et étroites, mais, évidemment, toutes plates.

Pour parcourir ces pistes, j’étais équipé d’une Yamaha YZ125 (une machine de cross donc) que j’avais loué à EZ MX Rentals (une minuscule organisation sur place, ça m’arrangeait bien). Donc, un dimanche matin, je prends ma fidèle Z1000, je m’habille légèrement sous mon équipement habituel et je fonce (enfin, c’est une façon de parler, hein !) à Punta Gorda pour rejoindre FTT et ses installations. Une fois les formalités passées (faut payer pour avoir accès au « parc », mais il faut aussi remplir et signer une décharge…), je rejoins Christian de EZ MX Rentals et là, rebelote, payer, décharge, etc.

Enfin, je peux monter sur « ma » YZ 125. Pourquoi seulement une 125 me direz-vous ?
Eh bien, une vraie 125 de cross, c’est un petit monstre hyper nerveux et très puissant en fait. Pour une découverte de FTT, ça s’est avéré bien suffisant. La YZ n’est pas une moto très facile à utiliser, car elle est haute (la selle est très haute à cause des suspensions à grand débattement), les freins sont trop puissants pour les pistes de poussières et le moteur n’est pas très souple… mais quelle pêche !

Sur la piste N°1 de FTT, j’ai vite découvert que ce n’était pas facile de rester sur ses roues. En vérité, je suis même tombé deux fois… La difficulté principale, c’est de choisir le bon « rail » est d’essayer d’y rester. C’est quand je me suis laissé embarquer de passer d’un rail à l’autre en plein virage que je me suis mis par terre (pas de bobo vue le terrain souple et la faible vitesse). En fait, le pilotage est simple : il ne faut pas couper les gaz !

Plus facile à dire (à écrire) qu’à faire, mais c’est très similaire au jet-ski où l’engin est stable tant que vous accélérez et devient difficile à tenir lorsqu’on coupe les gaz. Sur la YZ, c’est pire à cause de sa hauteur de selle qui empêche de se servir de ses jambes pour rattraper le coup. L’idéal serait de rester debout sur les repose-pieds tout le temps, mais c’est comme ne pas couper les gaz, c’est plus facile à dire qu’à faire !

Bref, j’ai eu des bons moments et des moins bons que j’ai résumé dans cette courte vidéo ci-dessous…

Globalement, c’était super, mais je peux dur que j’en ai bavé et que j’ai fini « en eau », carrément trempé suite à mes efforts pour rester en selle. Les gros américains (pas les vrais crossmen qui eux étaient très « fit ») préfèrent utiliser des ATV (all terrain vehicule, ce qu’on appelle nous des quads…) sur ces pistes et c’est un problème : non seulement ils se trainent, mais ils creusent des ornières (les fameux rails déjà évoqués) et ils font de la poussière… Quand j’arrivais sur eux, j’avais du mal à les doubler (du fait de l’étroitesse des pistes) et j’ai pensé alors à ce dicton américain « si vous ne faites pas de poussière, vous en mangerez… » (ce dicton, issue en droite ligne de la conquête de l’ouest, figurait les convois de chariots avec le premier qui soulevait de la poussière et les autres qui en profitaient…). Là, je dois dire que j’ai bien compris le sens de ce dicton…

Christian a beaucoup apprécié ma Z1000 puisqu’il l’a prise en photo sous toutes les coutures…

Après un premier passage par les pistes de FTT, je suis vite revenu à la tente de Christian pour réclamer à boire ! Il faisait chaud, mais, surtout, je venais de me taper deux chûtes et j’étais déjà bien calmé…

Ouais, c’est sympa FTT et la YZ, mais c’est pas facile-facile…

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La bientraitance, dernier avatar du politiquement correct !

La bientraitance est une notion à la mode en ce moment… On la voit partout, on en parle beaucoup, mais la pratique-t-on vraiment ?

La réponse est dans la question et c’est non bien sûr !

C’est devenu une caractéristique de nos sociétés, plus on parle d’un truc et moins on l’applique !

Il en est ainsi de la protection de l’environnement : tous les plus gros pollueurs ont mis le « greenwashing » en priorité de leur communication. Car ils ont bien compris qu’en parler (de la protection de l’environnement) évitait de devoir agir : c’est plus efficace (un peu de propagande en direction des zombies) et bien moins cher. Et c’est ainsi dans tous les compartiments de notre belle techno-structure : on a généralisé le window-dressing (arranger la vitrine, faire semblant) plutôt que l’action en profondeur. Et tout cela découle (selon moi) de cette généralisation récente du « politiquement correct » qui est vraiment le pire poison qu’on puisse imaginer pour une société moderne.

Désormais, il faut faire semblant de croire que nous vivons tous dans un monde de bisousnours !

Vous y croyez à ça ?

Même cette version là n’est pas très crédible…

Je refuse cette hypocrisie et je proclame ma liberté de toujours pouvoir traiter les cons, les beaufs et les tartuffes comme ils méritent de l’être.

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Une course à Daytona : la course à l’américaine, un grand spectacle bien réglé

Hier (samedi 10 février), je suis allé à Daytona avec mon jeune fils pour voir la toute première course ARCA de la saison sur le grand tri-oval floridien. Le week-end prochain, ce sont les 500 miles de Daytona qui vont tenir la vedette : cette première manche de la série NASCAR est aussi le rendez-vous le plus convoité de la saison, la victoire la plus importante, celle que tous rêvent d’épingler à son palmarès.

Mais ces 500 miles sont tellement populaires qu’il est difficile de trouver sa place au milieu d’une foule immense… Donc, je préfère ma tactique : aller voir à quoi ressemble une course de stock-cars moderne lors d’une rencontre mineure. Ainsi, il y a peu de monde, le confort est bien meilleur pour fondamentalement le même genre de spectacle. Certes, l’ARCA n’est pas la NASCAR… c’est, en quelques sortes, la troisième division de ce genre de voitures (la NASCAR concentrant la première et la seconde, peuplé quasi-uniquement de pilotes professionnels alors que l’ARCA sert de tremplin pour des jeunes désirant aboutir dans la NASCAR). Bref, l’ARCA était le bon choix pour nous et nous avons apprécié la course pour ce qu’elle était : un spectacle à l’américaine !

Tout d’abord, les installations : énormes, gigantesques, impeccables. Il y a même des ascenseurs pour grimper tout en haut des grandes tribunes (tout en haut, c’est vraiment haut, on peut voir le circuit dans son intégralité !). Ensuite, le staff : c’est pas comme en France, y a du monde à tous les étages. Bon, on voit bien que les équipes sont en surnombre pour un événement aussi mineur mais, justement, ils sont là en répétition pour que tout se passe impeccable pour le grand rendez-vous des 500 miles !

Donc, l’organisation est impeccable. La course elle-même répond aux codes de ces épreuves sur anneau avec une prépondérance sur le drafting (l’aspiration). Tous ceux qui vous disent que « c’est nul, y a pas de pilotage », n’ont jamais essayé de gagner ce genre de courses sur iRacing… Croyez-moi, c’est vraiment pas évident 1) de survivre (faut arriver à « passer entre les gouttes » en évitant les crash, les « big ones ») et 2) de progresser dans le peloton et de garder sa place. Donc, ne croyez pas les « naysayers » et appréciez le spectacle pour ce qu’il est. Pour rompre la monotonie, il y a les ravitaillements et, surtout, les crash. Les gros crash sont vraiment très spectaculaires et ils ne manquent jamais de se produire.

Bref, une forme de sport-automobile différente de ce qu’on connait en Europe mais qu’il faut savoir décoder plutôt que de la mépriser…

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Atteindre ses objectifs, même longtemps après les avoir fixés

En janvier, j’ai procédé à l’assemblage d’un nouveau PC (je raconte cette expérience cans le détail ici). Il y a longtemps que je voulais faire cela et, ces dernières années, ça m’est arrivé assez souvent d’assouvir enfin tel ou tel désir, d’accomplir telle ou telle tâche ou d’atteindre enfin tel ou tel objectif.

Ce n’est pas pour me vanter (comme dirait Philippe Meyer…) que je vous raconte cela, mais plutôt pour mettre l’accent sur la patience. Et si c’était la patience qui était la clé des accomplissements, grands et petits ?

Encore un exemple : avant de publier « Perdu dans le temps« , j’ai gardé cet ouvrage dans ma tête pendant plus de dix ans !
Je n’étais pas inquiet, je n’avais pas peur de l’oublier, car je savais que j’allais l’écrire un jour, je savais que j’allais aboutir un jour. Je fais cela tout le temps avec mes livres : chaque écriture est précédée d’une période de maturation plus ou moins longue, mais il n’est pas rare que cela prenne un an ou deux (en ce moment, je suis justement en train de « maturer » le prochain « Dr Miracle », celui de la saison 1972…).

N’oublions pas que toutes les choses sont d’abord des idées, des éléments de notre imagination, avant de prendre forme, d’être concrétisées dans la matière par notre propre industrie.

Donc, si vous voulez écrire un livre, restaurer une moto ou assembler un PC, ne vous désolez pas de ne pouvoir passer à l’action immédiatement. Patience dans l’azur, tout finit par venir à qui sait l’attendre, l’espérer, l’imaginer.

Dans la vidéo ci-dessous (que j’avais déjà partagé sur ce blog), je raconte mon aventure « paroxystique » quand j’avais 17 ans. Déjà à cette époque (1977), je savais que j’allais revenir sur ces lieux (la RN20) pour y prendre des photos. Jeune, j’imaginais même que je ferais ce pèlerinage au volant d’une Porsche 911… je ne me suis pas trompé de beaucoup, mais il m’a fallu attendre jusqu’en 2012 pour faire ce retour au volant de ma Porsche Cayman…

Bref, tout cela pour dire qu’il suffit d’y croire pour que, finalement, ça vienne. Croyez en vos rêves et ils deviendront réalité !

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Assembler son propre PC : c’est désormais assez facile…

J’avais décidé de tester la réalité virtuelle avec le masque Oculus Rift CV1 en ce début d’année 2018. Mais, pour cela, il me fallait un PC à la hauteur… Celui que j’utilise en Floride est déjà ancien et plutôt limité. C’était une occasion toute trouvée d’en profiter pour l’assembler moi-même.

Le but était plus de découvrir si j’en étais capable que de vraiment économiser quelques dollars. Car, vu la configuration visée, ça allait être couteux de toute façon. Donc, le 2 janvier, j’ai commandé la configuration suivante à Amazon.com :

  • Microsoft Windows 10 Home USB Flash Drive (pas besoin de DVD donc, W10 sur clé USB, c’était parfaitement logique).
  • Phanteks PH-EC416PSTG_BR Eclipse P400S Silent Edition with Tempered Glass, Black/Red Cases (ça, c’est juste la boite).
  • G.SKILL Flare X Series 16GB (2 x 8GB) 288-Pin DDR4 SDRAM DDR4 3200 (PC4 25600) AMD X370 Memory Model F4-3200C14D-16GFX (la mémoire vive).
  • Intel Core i7-7800X Processor (le processeur, pas le top du top, mais pas mal quand même…).
  • ASUS ROG STRIX GeForce GTX 1080 TI 11GB VR Ready 5K HD Gaming Graphics Card (ROG-STRIX-GTX1080TI-11G-GAMING soit la carte graphique).
  • Corsair CS Series, CS750M, 750 Watt (750W), Semi Modular Power Supply, 80+ Gold Certified (le bloc d’alimentation).
  • Samsung 960 EVO Series – 1TB PCIe NVMe – M.2 Internal SSD (MZ-V6E1T0BW, la toute petite carte portant les puces SSD pour la mémoire de masse).
  • ASUS ROG STRIX Z370-E GAMING LGA1151 DDR4 DP HDMI DVI M.2 Z370 ATX Motherboard with onboard 802.11ac WiFi and USB 3.1 for 8th Generation Intel Core Processors (la carte-mère).
  • Noctua NH-D15 SE-AM4 Premium-Grade 140mm Dual Tower CPU Cooler for AMD AM4 (le refroidisseur du processeur, un truc plutôt impressionnant !).

J’ai tout reçu entre le 4 et le 8/01/2018

Quand j’ai pu commencer le montage, je me suis aperçu que le processeur ne rentrait pas dans la carte-mère ASUS. J’ai donc commandé une autre carte (GIGABYTE X299 UD4) le 9/01 et j’ai renvoyé l’autre à amazon.

J’ai reçu cette nouvelle carte le 11/01 et là, je me suis aperçu que c’est le cooler qui ne se montait pas sur cette carte !

J’ai donc renvoyé le Noctua et j’ai commandé un autre cooler (Cooler Master Hyper 212 EVO RR-212E-20PK-R2 CPU Cooler with 120mm PWM Fan) le 11/01.

J’ai aussi pensé qu’il était plus raisonnable d’ajouter un disque dur interne plutôt que de tout miser sur la carte SSD pour l’installation de l’OS (WD Blue 1TB SATA 6 Gb/s 7200 RPM 64MB Cache 3.5 Inch Desktop Hard Drive (WD10EZEX), commandé le 11/01).

Le 11/01, j’ai tout de même pu mettre en place le processeur au sein de la carte-mère, la mémoire vive (2 barrettes) et la carte SSD. Ainsi que l’alimentation dans le boitier (qui est arrivé en dernier).

Je me suis aussi aperçu qu’il allait me manquer un câble Ethernet (commandé le 09/01), un câble DVI pour le moniteur (commandé le 08/01  et j’ai aussi commandé une souris et un clavier (amazon basics, le 08/01).

Le 12/01, j’ai monté la carte-mère dans le boitier et j’ai commencé les branchements. Je me suis aperçu qu’il me manquait des câbles pour raccorder les ventilateurs du boitier à la carte-mère (Phobya Adapter 3Pin (Plug) to 4Pin PWM (Socket) 30cm – Black, commandés le 12/01).

Le matin du 13/01, je me suis aperçu que j’avais monté l’alimentation à l’envers dans le boitier (ventilateur vers le haut !). Je l’ai donc mis dans la bonne position.

Le 13/01, j’ai reçu les deux derniers éléments : disque dur et cooler. Le disque n’a posé aucun problème (le case est même assez pratique sur ce plan), mais le cooler m’a demandé plus de recherches pour comprendre enfin comment le monter correctement.

Mais, finalement, j’ai pu assembler le tout, y compris la grosse carte graphique et j’ai même commencé à agencer les câbles pour finir.

Le 15/01 au matin, j’ai finalement trouvé comment brancher les ventilateurs système : en connectant les cosses à trois pins sur les connecteurs à 4 pines, tout simplement !

J’ai regardé sur la doc pour repérer l’ordre des fils et j’ai pu mettre les connexions sans problème… reste à tester le tout now !

En fin d’apm, j’ai procédé au premier allumage et miracle, tout à fonctionné du premier coup : les fans tournent, la carte clignote, tout est reconnu !

Après quelques difficultés avec la config du BIOS, j’ai pu lancer l’installation de Windows 10, paramétrage et mise à jour.

Le soir, j’ai enfin pu procéder à l’installation de l’Oculus et, après quelques étapes, j’ai pu « entrer dedans » et la sensation est fantastique !

Le 16/01, j’ai procédé à quelques réglages sur W10 afin de l’optimiser et de me débarrasser de tous les trackings inutiles. J’ai également débloqué le pb qui rendait la carte SSD invisible et j’ai donc deux volumes de 1TO chacun sur ma machine. L’assemblage et configuration est terminé. Tout cela m’a quand même pris une bonne dizaine de jours.

Lors de la semaine du 18 au 20/01, j’ai constaté deux problèmes : la définition de l’écran est limitée à 1440×900 (c’est la limite de l’écran Samsung) et le volant G27 est reconnu, mais ne fonctionne pas dans certains jeux.

Finalement, après beaucoup de recherches, j’ai compris ce qui se passait avec le volant : tous les ports USB sont en 3.0 alors que certains jeux ne supportent pas cette vitesse de transfert trop rapide par rapport au 2.0. J’ai donc commandé une carte d’extension PCI pour avoir des ports USB en 2.0 (carte commandée le 21/01).

Pareil pour la définition : pour monter en 2160×1200 (définition max permise par l’Oculus), il faut un écran qui supporte au moins cette définition (sinon, on est limité par ce que peut supporter l’écran primaire). J’ai donc commandé un écran Acer 24′ qui permet des définitions élevées (écran commandé le 20/01).

Pour arriver à assembler ce bazar, je me suis appuyé sur les bons conseils de ce site http://www.assembler-pc.fr/index.html… Je ne peux que vous recommander chaudement cette source !

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Se consacrer à une oeuvre, qu’est-ce que ça veut dire au fond ?

Je viens de publier une nouvelle version de mon livre « affaire classée« .

En corrigeant et en améliorant continuellement mes livres (grâce à vous !), je suis en conformité avec mon objectif principal vis-à-vis de ce travail d’écriture : me consacrer à une oeuvre. Oui, présenté ainsi, ça fait plutôt prétentieux. Donc, laissez-moi expliquer ce que j’entends par là…

En me « consacrant à une oeuvre » (la mienne, faut-il le préciser ?!), je décide de me concentrer sur l’écriture de mes récits au détriment de leur promotion. En clair, peu importe que mes livres soient peu diffusés, l’important, c’est de les faire exister. Je passe donc mon temps à écrire de nouveaux ouvrages et à améliorer ceux déjà publiés, car compléter mon « oeuvre » est plus important à mes yeux que de la faire connaitre. Mon ambition est de couvrir tous les domaines qui m’intéressent et seulement ceux-là. C’est pourquoi je ne crois pas que je vais écrire de la poésie ou des histoires romantiques par exemple. Mais, en dehors de ces exceptions, je ne m’interdis aucune exploration. C’est pourquoi, par exemple, Affaire classée est un roman policier : ça m’intéressait de me confronter à ce genre pour voir ce que je pouvais en faire. Je suis un écrivain « touche à tout » même si cela est mal vu en France.

Sur ce blog, j’essaye de vous faire partager les points importants de ma démarche. Je ne sais pas si je suis compris, mais, au moins, j’aurais été transparent.

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Une virée au « Dania Beach Vintage Motorcycle Show » 2018

Il y avait longtemps que je voulais aller au « Dania Beach Vintage Motorcycle Show » et, cette année, j’ai pu le faire. Les américains adorent les voitures et organisent souvent des réunions de « muscle cars » et autres vintage (voir ici et aussi là). Pour les motos, c’est un peu plus rare et c’est pourquoi je voulais aller à Dania Beach au moins une fois. C’est un peu loin de chez moi mais j’ai quand même pu faire les 400 miles (200 miles aller et la même chose au retour, soit à peu près 650 kms) dans la journée grâce à ma brave Z1000 (je ne suis resté qu’un peu plus d’une heure au show).

En train de me préparer à partir le samedi matin.

J’ai pris quelques photos que j’ai partagé en ligne dans un album que vous pouvez trouver ici (j’ai commenté chaque photo). Je n’ai pris en photo que les motos « rares » et digne d’intérêt (selon moi).

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L’interview de Fenouil par Bike70

L’excellent site Bike70 vient de réaliser l’interview de Fenouil (Jean-Claude Morellet, de son vrai nom mais plus connu comme « Fenouil ») par Jacques Bussillet le tout publié sur YouTube. Quand on sait le rôle qu’a joué Fenouil dans la saga Moto Journal et l’avénement des rallyes-raid, c’est évidemment à ne pas manquer !

https://www.youtube.com/watch?v=uMav9uA-giw

https://www.youtube.com/watch?v=45Hu4NOXDD0

https://www.youtube.com/watch?v=GnsJV5K4ZNM

Je n’ai pas mis la 4ème et dernière partie parce que là, Fenouil n’y parle que de voitures… Merci à tous pour ces récits (ah, toute une époque !), ça vaut vraiment le coup d’écouter et de se régaler !

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Faire la liste des dix livres que vous recommandez à lire…

Première règle pour établir cette liste : je ne peux y inclure un de MES livres… La vanité ne fait pas partie du cahier des charges ici !

En revanche, on peut y inclure des BD : ce sont des livres après tout. Bref, allons-y : voici les dix que, selon moi, il faut absolument avoir lus…

Le grand jeu – le tout meilleur livre sur l’Histoire que je n’ai jamais lu : l’affrontement anglo-russe en Asie centrale pendant le XXIème siècle. Voilà un ouvrage à lire pour comprendre les grands enjeux du XXIème siècle (qui ne se résumaient pas à l’Europe !) et qui résonnent encore aujourd’hui (et c’est pour ça que s’intéresser à l’Histoire est si important et utile).

Légende des contrées oubliées – une BD sublime sur une histoire de nains (type heroic fantasy alors que je ne suis pas un fan du genre). L’histoire est fascinante et il y a une vraie « poésie graphique » dans le dessin. Bref, tout ce qui m’énerve d’habitude, ici est tellement réussi que c’est carrément sublime !

Les six voyages de Lone Sloane – encore une BD, celle de Druillet, un choc, tout simplement quand j’ai découvert cela, jeune. La fascination est restée, cet album mérite d’être là et pas seulement pour son importance « historique »…

Les quatre accords toltèques – Voilà le livre qu’on devrait conseiller à tout le monde pour aller mieux, tout simplement !
Le domaine du « développement personnel » est très encombré (et ce n’est rien de le dire !). Pourtant, si le domaine vous intéresse, commencez par ce livre, vous ne serez pas déçu, promis.

Transurfing – de Vadim Zeland : va bien plus loin qu’aucun livre sur le même thème, améliorer sa vie. Transurfing est décliné en plusieurs volumes… Commencez déjà par le tome un pour voir. Par exemple, Vadmin Zeland donne l’explication la plus crédible qui soit sur les rêves, jamais rien lu de pareil ailleurs…

Les lois fondamentales de la stupidité humaine – Un excellent traité (tout est dans le titre) sur un sujet qui mériterait plus d’attention, selon moi…

– Une journée d’Ivan Denissovitch – d’Alexandre Soljenitsyne, le livre qui introduit à l’oeuvre du maitre russe bien connu. Un livre facile à lire (ce qui n’est pas le cas de « l’archipel du goulag » du même auteur) mais qui contient toute l’horreur du goulag soviétique.

Naufragé volontaire – d’Alain Bombard, une aventure sans pareille !
Bombard était aussi un conteur formidable en plus d’être un aventurier audacieux. Pour prouver le bien fondé de ses idées, il s’est retrouvé dans une situation qui paraissait suicidaire et sans espoir… Ce qu’il en a retiré est bien plus que la preuve de la justesse de ses théories, un récit épique dont l’écho résonne encore aujourd’hui. Un des grands exploits du XXème siècle qui n’est pas assez connu… Profitez-en pour sortir des sentiers battus et vous régaler de cet exploit inédit.

Annapurna premier 8000 – de Maurice Herzog, l’histoire incroyable de cette première dans l’Himalaya, tragique et grandiose. Certes, l’auteur et son exploit ont été plus ou moins contestés par la suite (et pas pour les mêmes raisons) mais ça ne retire rien à ce récit formidable qu’il faut avoir lu au moins une fois.

Le grand cirque – de Pierre Clostermann, l’histoire de ce pilote français dans la RAF pendant la Seconde Guerre mondiale, poignant. Désormais avec le titre « Le grand cirque 2000 » (date de la dernière édition ?), ce récit incroyable vous propulse dans cette guerre aérienne cruelle. L’écriture est dense et vous laisse pantois devant les exploits de ces hommes jeunes. C’est autant un livre d’Histoire qu’un livre de guerre ou de mémoires.

Oui, il y a pas mal de livres français et sur des exploits français (y compris guerriers)… et pourquoi pas ?

Quand les Français sont nuls, je les critique sans restrictions. Mais quand ils sont à la hauteur, il faut les lire, tout simplement…

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Une nouvelle version de l’empereur, revue et corrigée !

Je viens de publier une nouvelle version de mon livre « L’empereur ».

La couverture de la version pour Kindle.

Dernièrement, je regardais Michel Onfray parler de Jean d’Ormesson et de Johnny Hallyday… Onfray mettait en avant, fort justement à mon avis, que d’Ormesson avait vendu pas mal de livres, mais il n’était pas lu pour autant (même pas traduit par exemple, c’est juste une exception française, tout comme Hallyday d’ailleurs).

https://youtu.be/PFFcnT0_lD8

Je suis dans une bien meilleure position et ça grâce à vous : je suis lu ET corrigé !
Certes, ma diffusion est restreinte (mes livres se vendent peu et c’est bien le moins qu’on puisse dire), mais elle est de qualité… Et c’est vous ma qualité.

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Daytona 200, 1974, la course du siècle ?

Il est toujours difficile d’isoler une course particulière et dire, « ça, c’était la grande rencontre, la course qui a compté le plus » et le choix au final sera toujours contestable. Mais je crois qu’on peut quand même mettre à part les 200 Miles de Daytona lors de l’édition 1974, celle gagnée par Agostini. Non pas parce que je serais hyperfan d’Ago (ce n’est pas mon cas même si j’admire le campionissimo), mais à cause de la qualité du plateau et du déroulement de la course elle-même.

D’abord, une précision : cette année-là, la course a été un peu réduite pour tenir compte de la première crise du pétrole qui battait son plein à ce moment-là… du coup, nos 200 miles n’en ont fait que 180 finalement… Une réduction symbolique qui ne changea rien au résultat.

Un plateau exceptionnel
En 1974, le plateau réuni était grandiose et il ne manquait quasiment personne (il n’y avait que Phil Read comme pilote important à ne pas courir, mais il était présent pour faire une « démonstration » de sa MV). Certains me diront que le plateau était encore meilleur en 1975, mais il manquait alors Barry Sheene qui s’était blessé lors des essais (dans sa fameuse chute à fond sur le banking…). Donc, restons sur l’édition 74. C’était l’édition des grandes premières : première course d’Agostini sur un deux-temps et première mise en oeuvre de la Yamaha TZ700 (et elles étaient nombreuses sur la grille !).

Mais les Yamaha n’étaient pas les seules : Suzuki avait également produit un effort exceptionnel pour aligner une équipe de rêve avec Sheene, Smart et Nixon, entre autres. Kawasaki n’était pas dans le coup cette année-là et c’était bien dommage pour Duhamel.

Les quatre-temps étaient peu nombreux, car il était désormais clair que même en se contentant d’un seul ravitaillement, ils n’étaient plus compétitifs sur l’anneau floridien.

Des essais qualifs en trompe-l’oeil
Agostini avait compris que, avec le contexte chaud et humide de la Floride, il ne servait à rien de passer son temps à changer les réglages de carburation tout au long de la journée, mais qu’il fallait se concentrer sur les réglages optimaux lors de la période de la course, c’est-à-dire en début d’après-midi. Le champion italien se concentra sur cette tâche et laissa à Smart, Kanaya et d’autres le soin de se disputer la pole position.

Un début de course très animé
La course partit sur un rythme très élevé et c’est Ideo Kanaya qui en fit les frais le premier : le japonais se mit par terre dès le second tour et se fractura l’épaule. On n’allait pas le revoir pendant l’année. Ago avait pris la tête dès le départ, mais il se fit rejoindre et dépasser par un groupe mené par Kenny Roberts et composé également de Sheene et Nixon (tous les deux sur Suzuki.

Barry Sheene fut éliminé au 25ème tour sur ennuis mécaniques et Kenny Roberts fut obligé de ralentir un peu, car les pots d’échappement de sa machine se déchiraient (un mal chronique des premières TZ700). Restaient donc Ago et Nixon pour se disputer la victoire. Pour les deux prétendants, les ravitaillements se passèrent normalement, mais tout de même un poil mieux pour Ago qui en profita pour se ménager une petite avance. Gary Nixon décida donc d’accentuer encore son rythme pour rejoindre l’officiel Yamaha, mais le paya cher puisqu’il tomba peu après.

Ago se retrouva donc seul en tête pour la fin de course qui se révéla pénible, car la chaleur et la distance commençaient à peser sur les organismes. Mais l’italien tint bon et franchit la ligne d’arrivée en premier. Une victoire qui eut un grand retentissement (mérité) et qui établit définitivement le champion italien au panthéon des pilotes d’exception…

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Mon bilan 2017 : plutôt satisfaisant

L’inoubliable maire de Paris, Jean Tiberi a dit une fois : mon bilan est bon, les Parisiens m’aiment !

J’aurais pu choisir une image plus flatteuse de l’ineffable couple Tiberi, mais cela aurait été moins drôle !

Je ne sais pas si les Parisiens m’aiment, mais, moi aussi, mon bilan est bon !

Je veux parler de mes livres, bien entendu. Pendant cette année 2017, ma production a été raisonnablement bonne… J’ai publié des nouveaux livres (« L’empereur », « Affaire classée » et « Dr Miracle, saison 1971 ») et j’ai continué la mise à jour minutieuse de mes « anciens » ouvrages (« Freedom Machine » et « SimRacing »). En fait, c’est un travail en continu puisque, en ce moment même, je suis en train de faire une campagne de corrections sur mes titres récents (grâce à l’aide toujours bienvenue de mes lecteurs !) et j’ai lancé le travail sur la seconde édition de l’Histoire de l’informatique (un très gros travail !).

Mes objectifs pour 2018 :

  • Publier une seconde édition de l’Histoire de l’informatique (très enrichie !)
  • Publier « Dr Miracle, saison 1972 »
  • Publier des éditions corrigées de mes titres récents
  • Continuer les mises à jour sur « SimRacing »
  • Et sans doute un ou deux nouveaux récits (j’ai toujours au moins une idée en cours)

Bon courage à tous dans vos projets et bonne nouvelle année !

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Apple MacBook Pro : le meilleur et le pire (comme toujours avec Apple…)

Dans notre famille, nous sommes des utilisateurs des produits Apple (MacBook, iPhone, iPad, Airport), mais ne sommes pas « Applemaniaque » pour autant (et encore moins « fan boys ») : les produits Apple ont des bons côtés, mais aussi des mauvais… Essayons de faire le point sur cette balance avec le tout dernier MacBook Pro qu’on vient juste de recevoir.

Mon épouse avait besoin de renouveler son Mac et on lui a donc commandé le top du top : le MacBook Pro 15′ avec le max du max (mémoire, capacité disque, etc.)… Belle bête, mais un peu chère : cette config dépasse les $4000 tout de même !

Déjà, ce premier point (les produits Apple sont chers) fait que de nombreux utilisateurs qui se porteraient mieux avec un Mac qu’avec un windaube passent leur chemin… ça peut se comprendre, mais c’est dommage, car, selon moi, on en a pour son argent. Mais, encore une fois, tout n’est pas parfait dans le monde de la pomme. Continuons sur les défauts, on verra les points positifs après.

1- adieux le magsafe !

Le magsafe était vraiment une bonne idée !
Pourquoi l’avoir abandonné ?

https://www.macg.co/mac/2016/10/dix-ans-apres-apple-enterre-le-magsafe-96101

Sans doute parce que Ive (le designer) a voulu imposer l’uniformité des interfaces (au passage, adieux aussi aux ports USB traditionnels !). Une décision dogmatique (typique de Ive, je déteste ce mec !) qui est un des pires comportements d’Apple.

2- Apple impose l’USB-C

Que ça vous plaise ou non, il n’y a plus un seul port USB traditionnel sur le MacBook Pro. A la place, il y a des ports USB-C qui impose donc d’avoir un adaptateur pour brancher tout ce que vous avez encore et qui (surprise !) n’est pas compatible USB-C… Encore une manie détestable de précéder le mouvement alors qu’on a rien demandé !

3- iCloud toujours aussi lamentable

À l’heure où le cloud est partout, Apple s’accroche encore à son iCloud qui est, tout à la fois, pas pratique et cher. En bref, contrairement à ce qu’on a l’habitude de dire sur les produits Apple, iCloud, ben ça ne marche pas !

Il y a dix ans, Steve Jobs avait viré le manager de l’équipe en charge de MobileMe (déjà, à l’époque, le produit « cloud » d’Apple était un désastre… ça n’a pas changé !). Peut-être faudrait-il faire la même chose aujourd’hui ?

https://gizmodo.com/5033442/steve-jobss-entire-mobileme-is-fail-email

Bon, on vient de voir les principaux points négatifs du nouveau MacBook Pro (encore que, iCloud n’est pas propre au MacBook, mais comme Mac OS s’appuie largement dessus, pour l’utilisateur, c’est pareil…), voyons maintenant les points positifs…

1- un clavier extraordinaire !

Le clavier de l’ancien MacBook Pro était déjà bon (c’est avec lui que je rédige ce post…), mais le nouveau est carrément sensationnel : une merveille, tout simplement. Les touches sont larges, le toucher est agréable, c’est vraiment un progrès.

La fameuse « touch-bar » m’a l’air pas mal aussi, mais là, il me faudra un peu de temps pour me prononcer définitivement.

2- un trackpad vraiment large

Le Trackpad est lui aussi un point positif, ne serait-ce que par sa surface, vraiment plus grande que sur mon MacBook (et là, plus c’est mieux).

3- une finition superbe

Cette nouvelle itération du MacBook Pro est superbe : tout l’appareil dégage une impression de finition soignée (et de design achevé, même si ça m’ennuie de l’avouer, car c’est un point en faveur de Ive) et c’est bien le cas. Mais c’était déjà le cas pour les modèles précédents.

Du coup, on en arrive à lister les points positifs habituels : ça marche, c’est superbe, c’est facile à utiliser, etc. Oui, rien de nouveau sur ces points (et tant mieux), mais c’est important de les souligner encore et encore.

Au final, ça vaut le coup ou pas ?

Eh bien, comme souvent avec les produits coûteux, ça dépend… si vous avez les moyens, oui, trois fois oui. Sinon, voyez plutôt du côté d’un bon Chromebook où le rapport qualité/prix/efficacité sera sans doute (bien) plus favorable.

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Apple MacBook Pro : le meilleur et le pire (comme toujours avec Apple…)

Dans notre famille, nous sommes des utilisateurs des produits Apple (MacBook, iPhone, iPad, Airport), mais ne sommes pas « Applemaniaque » pour autant (et encore moins « fan boys ») : les produits Apple ont des bons côtés, mais aussi des mauvais… Essayons de faire le point sur cette balance avec le tout dernier MacBook Pro qu’on vient juste de recevoir.

Mon épouse avait besoin de renouveler son Mac et on lui a donc commandé le top du top : le MacBook Pro 15′ avec le max du max (mémoire, capacité disque, etc.)… Belle bête, mais un peu chère : cette config dépasse les $4000 tout de même !

Déjà, ce premier point (les produits Apple sont chers) fait que de nombreux utilisateurs qui se porteraient mieux avec un Mac qu’avec un windaube passent leur chemin… ça peut se comprendre, mais c’est dommage, car, selon moi, on en a pour son argent. Mais, encore une fois, tout n’est pas parfait dans le monde de la pomme. Continuons sur les défauts, on verra les points positifs après.

1- adieux le magsafe !

Le magsafe était vraiment une bonne idée !
Pourquoi l’avoir abandonné ?

https://www.macg.co/mac/2016/10/dix-ans-apres-apple-enterre-le-magsafe-96101

Sans doute parce que Ive (le designer) a voulu imposer l’uniformité des interfaces (au passage, adieux aussi aux ports USB traditionnels !). Une décision dogmatique (typique de Ive, je déteste ce mec !) qui est un des pires comportements d’Apple.

2- Apple impose l’USB-C

Que ça vous plaise ou non, il n’y a plus un seul port USB traditionnel sur le MacBook Pro. A la place, il y a des ports USB-C qui impose donc d’avoir un adaptateur pour brancher tout ce que vous avez encore et qui (surprise !) n’est pas compatible USB-C… Encore une manie détestable de précéder le mouvement alors qu’on a rien demandé !

3- iCloud toujours aussi lamentable

À l’heure où le cloud est partout, Apple s’accroche encore à son iCloud qui est, tout à la fois, pas pratique et cher. En bref, contrairement à ce qu’on a l’habitude de dire sur les produits Apple, iCloud, ben ça ne marche pas !

Il y a dix ans, Steve Jobs avait viré le manager de l’équipe en charge de MobileMe (déjà, à l’époque, le produit « cloud » d’Apple était un désastre… ça n’a pas changé !). Peut-être faudrait-il faire la même chose aujourd’hui ?

https://gizmodo.com/5033442/steve-jobss-entire-mobileme-is-fail-email

Bon, on vient de voir les principaux points négatifs du nouveau MacBook Pro (encore que, iCloud n’est pas propre au MacBook, mais comme Mac OS s’appuie largement dessus, pour l’utilisateur, c’est pareil…), voyons maintenant les points positifs…

1- un clavier extraordinaire !

Le clavier de l’ancien MacBook Pro était déjà bon (c’est avec lui que je rédige ce post…), mais le nouveau est carrément sensationnel : une merveille, tout simplement. Les touches sont larges, le toucher est agréable, c’est vraiment un progrès.

La fameuse « touch-bar » m’a l’air pas mal aussi, mais là, il me faudra un peu de temps pour me prononcer définitivement.

2- un trackpad vraiment large

Le Trackpad est lui aussi un point positif, ne serait-ce que par sa surface, vraiment plus grande que sur mon MacBook (et là, plus c’est mieux).

3- une finition superbe

Cette nouvelle itération du MacBook Pro est superbe : tout l’appareil dégage une impression de finition soignée (et de design achevé, même si ça m’ennuie de l’avouer, car c’est un point en faveur de Ive) et c’est bien le cas. Mais c’était déjà le cas pour les modèles précédents.

Du coup, on en arrive à lister les points positifs habituels : ça marche, c’est superbe, c’est facile à utiliser, etc. Oui, rien de nouveau sur ces points (et tant mieux), mais c’est important de les souligner encore et encore.

Au final, ça vaut le coup ou pas ?

Eh bien, comme souvent avec les produits coûteux, ça dépend… si vous avez les moyens, oui, trois fois oui. Sinon, voyez plutôt du côté d’un bon Chromebook où le rapport qualité/prix/efficacité sera sans doute (bien) plus favorable.

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Il n’est jamais trop tard pour cracher sur Noël !

Jai déjà publié cette chronique il y a un an mais les bonnes choses doivent servir plusieurs fois !

===

Allez, je sais bien que vous êtes nombreux à détester Noël comme moi. Si vous n’êtes encore convaincu, lisez ceci => http://www.alain-lefebvre.com/allez-avouez-vous-aussi-vous-detestez-noel/

ironie

Je vous propose encore autre chose pour bien enfoncer le clou : Santaland Diaries.

C’est un récit assez connu aux USA qui nous vient du formidable David Sedaris. Je vous invite, vraiment, à écouter son journal ci-dessous : son expérience en tant qu’Elfe à Macy. Si vous comprenez l’anglais, il FAUT écouter cette histoire… ça, vraiment ça, c’est Noël… Triste.

https://www.youtube.com/watch?v=yu8QfIC5fhI

 

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Exploration et fantasmes, jusqu’où peut-on aller avec l’écriture ?

L’écriture a un potentiel énorme et, pour moi, cela a été (et sera encore) une immense source de satisfaction. Voyons d’abord les possibilités d’exploration avant d’aborder les fantasmes…
Je me suis servi de mes récits pour explorer des situations qui me fascinaient ou même, pour certaines, qui me faisaient peur… Oui, l’écriture peut aussi servir à faire face à ses propres démons !
Par exemple, dans le tome un de PMC, j’ai confronté mes personnages à une situation de torture… Oui, c’est clair que c’est horrible, mais je voulais voir comment j’allais pouvoir me plonger dans ce contexte et en sortir le mieux possible (ça se termine bien, je vous rassure !). Je crois y être parvenu, mais, sans doute conscient de ma chance, je n’ai plus trop envie de recommencer, j’avoue !
C’est également dans le T1 de PMC que j’ai introduit une autre scène « extrême » que je voulais explorer depuis longtemps : être un passager dans un avion qui s’écrase au sol… Bon, une fois encore ça finit bien et j’étais là aussi assez content du résultat, car j’avais réussi à faire monter la tension ambiante progressivement jusqu’au moment où toutes les limites sont franchies et où tout le monde est emporté dans une grande panique générale (si je vous dis que « ça finit bien », vous allez me croire ?).
Les explorations avec l’écriture commencent toujours par une question, la même question qui revient sans cesse : que se passerait-il si… ?
Donc, on part d’une situation extrême ou improbable et on voit où ça nous emmène, comment on arrive à la transcrire, ce qui se passe au niveau émotionnel et ainsi de suite. Je peux vous dire que, dans ce contexte, l’auteur se demande réellement ce qui va en sortir. On est donc bien dans une situation d’exploration où l’aventure est au rendez-vous.
Certaines fois, grâce à la science-fiction, on peut vraiment aller à la découverte de « terres vierges et inconnues ». Dans le tome trois de PMC, j’ai carrément mis en page la scène suivante : un des héros de l’histoire remonte d’une simulation dans le corps d’un autre. Il doit ensuite évoluer dans ce « corps étranger » en donnant le change pour ne pas dévoiler sa supercherie. Cela se corse quand il se retrouve le soir dans « son » domicile et face à « son » épouse… Elle n’est pas dupe et s’aperçoit rapidement qu’il ne s’agit pas de son mari même s’il en a l’apparence physique.
Je dois dire que j’ai toujours pris un grand plaisir de ces exercices d’exploration et que je crois vraiment que tout est possible, tout est permis du moment qu’on est sincère et qu’il ne s’agit pas d’arfices pour pimenter une histoire banale (comme les effets spéciaux dans les films dépourvus de scénario).

Voyons les fantasmes maintenant. Je ne l’ai pas fait souvent, mais il m’est arrivé d’assouvir quelques fantasmes dans mes récits (et non, il ne s’agit pas forcément de quelque chose de sexuel !). À la fin du tome deux de PMC, mes héros retournent en 1932 afin de participer aux 24 Heures du Mans, rien que cela… Je dois dire que faire les 24 Heures du Mans est toujours resté un désir inassouvi pour moi : j’ai pu faire de la course automobile (mais pas jusqu’à ce niveau) et j’ai même pu participer deux fois (en 95 et 96) aux 24 Heures du Mans Karting (qui est une course assez relevée dans cette catégorie), mais c’est tout. Avec un de mes fils, j’ai fait quatre fois les 24 heures du Mans en simulation (mais nous n’avons pu terminer que deux fois…). La simulation, c’est bien (surtout avec les progrès techniques récents tels que les casques de réalité virtuelle qui augmentent encore l’immersion), mais ça reste de la simulation.
Avec l’écriture, j’ai donc pu explorer un autre type de simulation (liée à cet événement) qui, finalement, s’avère très détaillée !
Mais alors, pourquoi en 1932 me direz-vous ?
Ah, toujours cet impératif de réalisme !
Se faire admettre au départ de cette célèbre course alors qu’on est encore un pilote amateur était bien facile à cette époque et bien plus difficile par la suite… Ceci explique cela. Autre fantasme habituel, rencontrer son héros !
J’ai pu le faire dans « Perdu dans le temps » où mon héros va à la rencontre de Jean-Albert Grégoire, célèbre ingénieur de l’automobile et pionnier de la traction avant. Je dois dire que j’ai longtemps rêvé de Grégoire en lisant de nombreuses fois son encyclopédie « Cinquante ans d’automobile » et donc, j’avais l’impression de bien le connaitre (de plus, rencontrer son héros sur le papier évite d’être déçu !).

Quelques-uns de mes livres au format papier… Sous le soleil de la Floride !

L’écriture permet tout cela et même bien plus. Dans un prochain article, j’aborderais la question de la relation avec ses personnages et vous verrez qu’il s’agit là d’un sujet quasiment sans fin.

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Verus sapien vs Joe sixpack, apprenez à les différencier !

Les américains ont le sens de la formule pour désigner les beaufs : Hillbilly, Redneck ou encore, le meilleur selon moi, Joe sixpack. Ce dernier terme est une évolution tardive du « average Joe » (équivalent de l’expression « le pékin moyen » en bon français), le terme « sixpack » fait référence au paquet de cannettes de bière vendu par six… CQFD.

Des Joe sixpack, vous en connaissez sans doute quelques-uns dans vos différents cercles, hélas. Pourtant, il me semble utile de dresser une petite liste pour bien les reconnaitre sans risquer de se tromper. Car le Joe sixpack affiche certaines caractéristiques qui permettent de l’identifier à coup sûr !

Voyons cela…

  • Il fume en plus de boire (ben oui, faut ce qu’il faut !).
  • Il aime le football (il va aux matchs où il vocifère « enculé » toutes les deux minutes… C’est ça la beauté du sport de masse, non ?).
  • Il pense que le moteur diesel est le moteur idéal (et que ces connards d’écolos font chier pour rien !).
  • Il parle beaucoup, à tort et à travers et surtout sur les sujets qu’il ne connait pas. Au finale, il se contente d’aboyer avec la meute.
  • C’est un grand consommateur de télé (ben quoi, y a autre chose à faire ?) et, même s’il rechigne à l’avouer, aime beaucoup les programmes de TF1 et M6 (coup de bol, ils ont justement été « conçus » pile pour lui !). Ah oui et pour la radio, il écoute NJR bien sûr…
  • Il ne lit pas de livre (un truc d’intello, pourquoi se prendre la tête avec ces histoires, y a même pas d’image ?!) et, au mieux, feuillette de temps en temps un magazine (genre l’Equipe ou un tabloïd people).
  • Il fait un boulot sans intérêt et parce qu’il y est contraint (faut bien payer son loyer) mais peu importe, ce qui compte, ce sont les vacances (tous les ans au même endroit) !
  • Il pense que sa condition minable est à cause du « manque de chance » et ne n’oublie jamais de blâmer les autres (assistés en tout genre), tout en en revendiquant plus de RTT ou autres quand c’est possible (merci la CGT).

Vous avez forcément reconnu au moins une de vos connaissances, n’est-ce pas ?

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La mise à jour annuelle de ma Z1000

Comme chaque année, une fois de retour en Floride, je récupère ma Z1000 chez Weston et je constate que, une fois de plus, il a bien travaillé !

Cette fois, voilà ce que nous avions au programme :

  • changement du bloc de voyants central entre les compteurs/compte-tours (pour un neuf)
  • peinture des pare-carters (qui étaient bien moches)
  • nouvelle peinture pour le réservoir/caches/dosseret
  • nouvelle batterie
  • nettoyage complet des pots d’échappement (avec restoration de l’aspect grâce à la poudre miracle !)

La nouvelle peinture était nécessaire car j’ai été obligé de remplacer complètement l’ancien réservoir qui fuyait. Cette fois, j’ai décidé qu’on allait adopter le schéma de mon casque Bitwell… Et voilà le résultat :

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Parlons d’un auteur de BD et de son oeuvre : Quentin et Handman…

Mon fils ainé, Quentin, est un auteur de BD qui tente de faire sa percée sur ce marché déjà très encombré de la BD en France. Il est l’auteur d’une remarquable saga, Handman, et il a déjà produit trois tomes de cette histoire fascinante.

Voici une vidéo fort bien faite qui présente cette série :

Quentin est plutôt doué en matière de communication et il arrive à se faire inviter régulièrement pour parler de sa création dans les médias locaux comme ici, à TV8 Mont-Blanc :

J’aime bien parler des autres auteurs méritants et ce n’est pas parce qu’il s’agit de mon fils que je vais me censurer !

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Les motos anglaises anciennes : pourquoi une telle vénération ?

Je lis régulièrement les magazines sur les motos anciennes comme « Motolégende » par exemple et, dernièrement, j’ai ressenti une espèce de malaise en lisant les articles consacrés aux motos anglaises : ces articles sont systématiquement élogieux comme si ces motos étaient formidables, écho lointain d’un âge d’or à jamais disparu…

En revanche, ce qui est sûr, c’est que l’industrie britannique de la moto a belle et bien disparu complètement avant de renaitre dans les années quatre-vingt-dix grâce à John Bloor qui a ressuscité Triumph en ayant l’intelligence de repartir d’une feuille blanche (s’il avait essayé de prolonger encore la Bonneville, par exemple, cela aurait fait plaisir à quelques « purs et durs » -et encore, c’est à vérifier, car ces gens-là sont souvent les plus difficiles à satisfaire !-, mais cela n’aurait pas permis de vraiment relancer une production de masse…).

La toute dernière version de la Bonneville en 1988…

Rappelons tout de même que Triumph, BSA et Norton ont été emportés dans la tourmente des années quatre-vingt alors que, dans le même temps, BMW, Ducati et Moto-Guzzi ont réussi à survivre, plus ou moins bien, mais ça fait une grosse différence, non ?

Si les motos anglaises étaient si fantastiques (et, effectivement, le caractère d’une vraie moto anglaise est quelque chose d’unique, j’en témoigne ici), pourquoi cela ne leur a pas permis de rester sur le marché comme les constructeurs italiens et les constructeurs allemands ?

Eh bien, disons-le, parce que ces constructeurs (BSA, Triumph et Norton) ne méritaient simplement pas de continuer. La qualité de fabrication était telle que c’était une insulte aux clients. La qualité de la conception était à l’arrêt depuis trop longtemps (il suffit de voir combien la Trident première version était décevante par rapport à la CB 750…) et, surtout, l’ineptie du management était le dernier clou du cercueil. Pendant ce temps-là, les constructeurs japonais prospéraient…

La CB750 K0. C’est cette moto qui acheva les constructeurs anglais mais ces derniers avaient déjà un pied dans la tombe depuis la CB 450 Honda…

Il est de bon ton de mépriser la production japonaise, mais il serait peut-être bon de s’interroger, une bonne fois pour toutes, sur les raisons qui ont favorisé les constructeurs japonais tout en éliminant les constructeurs anglais (et, bizarre, il est arrivé la même chose dans le secteur automobile !), non ?

Tout simplement parce que les Japonais respectaient leurs clients en leur fournissant des machines bien conçues et bien fabriquées (oui, la qualité était là, mais aussi et c’est important, le soin du détail en plus d’une finition souvent irréprochable). Aujourd’hui, on s’en rend moins compte, car tous les constructeurs se sont alignés sur ces standards (et c’est tant mieux), mais, à l’époque, c’est vraiment sur ce plan que les Japonais ont redéfini les règles du marché. Pendant ce temps, les Britanniques continuaient à penser que leur production (qui se dégradait, en plus !) était largement « good enough »… Et non, certainement pas « good enough », sorry !

En fait, c’est cette moto aurait dù servir d’avertissement aux constructeurs britanniques… Les ingénieurs ont bien senti le vent tourner mais pas le management… Sic transit gloria mundi!

Aujourd’hui, il est beaucoup plus délicat de restaurer et d’entretenir une moto anglaise ancienne qu’une machine japonaise de la même époque… Mais, c’est comme tout, l’amour ferme les yeux !

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Un excellent article sur la question de l’IA et la notion de « l’explosion de l’intelligence »

Voilà un excellent article de François Chollet (photo de l’auteur ci-dessous) sur la notion « d’explosion de l’intelligence » qui est souvent mise en avant quand on débat sur l’évolution et le futur de l’IA. Chollet postule (très bien) que l’intelligence est situationnelle. Donc, l’explosion supposée est contradictoire avec le fait que les intelligences des organismes vivants (y compris nous !) sont des intelligences très spécialisées en fonction de leur enveloppes corporelles.

On lit trop souvent des bêtises sur ce sujet alors, quand il y a un bon article sur le sujet, il ne faut pas le louper !

Bref, lisez cet article (très bien rédigé, en plus… cependant, c’est tout en anglais, of course!) => The impossibility of intelligence explosion.

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Un excellent article sur la question de l’IA et la notion de « l’explosion de l’intelligence »

Voilà un excellent article de François Chollet (photo de l’auteur ci-dessous) sur la notion « d’explosion de l’intelligence » qui est souvent mise en avant quand on débat sur l’évolution et le futur de l’IA. Chollet postule (très bien) que l’intelligence est situationnelle. Donc, l’explosion supposée est contradictoire avec le fait que les intelligences des organismes vivants (y compris nous !) sont des intelligences très spécialisées en fonction de leur enveloppes corporelles.

Bref, lisez cet article (très bien rédigé, en plus, cependant, c’est tout en anglais, of course!) => The impossibility of intelligence explosion.

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Critique du livre « Divertir pour dominer – la culture de masse contre les peuples »

Je viens de lire « Divertir pour dominer » et, bien que mon avis sur cet ouvrage soit très négatif, j’ai eu envie de vous en parler… Au départ, voilà un livre qui avait tout pour me plaire : dénoncer l’abrutissement généralisé, je ne peux qu’être pour !

Hélas, le ton du livre est désastreux : le collectif des auteurs s’exprime comme une bande de gauchistes de bas étage. Pour dire, il n’hésite même pas à employer le terme « conscience de la classe ouvrière » !

Le diagnostic est bon : la télé est un instrument d’abrutissement, la pub avilit tout et le sport (de masse) est un instrument de propagande à peine dissimulé. Mais, ça se gâte sérieusement quand on lit les analyses : on se croirait face à des maoïstes des années soixante-dix préconisant la révolution culturelle, la rééducation des bourgeois par le travail (dans des camps, faut leur apprendre à vivre à ces salauds !) et la dictature immédiate des « gardes rouges », faut ce qu’il faut !

Quelque part, il semble que le juste milieu n’existe pas : soit on trouve des vendus qui défendent le système actuel avec des arguments absurdes (genre, « la télé permet de distraire le peuple qui l’a bien mérité » et « le sport de masse permet l’expression des émotions du peuple » alors qu’on sait bien que c’est faux : la télé abrutie et le sport de masse médiatisé ne sert que de canal d’expression aux pires bassesses), soit on trouve des radicaux qui veulent le retour d’un collectif utopique qui n’a jamais existé et qui ne verra jamais le jour (car trop en opposition avec la nature humaine profonde). Désolant…

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La vérité sur la télé : que vous faut-il de plus comme preuves ?

Regardez-donc cette vidéo où Michel Desmurget (auteur de l’excellent livre « TV lobotomie« , tout est dit dans le titre !) était l’invité de France-Info (beuark !) :

Tout est dit par l’auteur : les quelques « bons » programmes qui sont diffusés de temps en temps (des documentaires sur Arte, par exemple) ne représentent qu’une goutte d’eau minuscule dans un océan de contenus abêtissants.

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La loi du délai incompressible confirmée

De nos jours, le marché du cloud mobilise les efforts et les spéculations. On voit que les nouveaux géants s’y affrontent à coup de milliards (Amazon, Microsoft, Google) et que les anciens grands acteurs tentent d’y prendre leur place également (IBM, Oracle, SAP, etc.).

Alors que nous sommes presque en 2018, plus personne ne doute que le cloud, avec toutes ses déclinaisons, est désormais le présent et l’avenir de l’informatique d’entreprise. Les clients, même les plus gros, s’y intéressent (au moins) ou s’y précipitent. Plus personne ne clame « le cloud ? jamais chez moi ! ». Mais cette évolution qui semble désormais évidente a tout de même pris vingt ans à devenir une évidence.

En effet, c’est en 1998 que la notion d’ASP commence à apparaitre. Salesforce confirma le bien-fondé de la tendance peu après (1999) et les choses n’ont pas cessé de progresser depuis. Mais il a fallu quand même vingt ans pour que « l’Internetisation de l’informatique » (ainsi que je l’appelais dans une chronique parue dans 01 en 1998 justement) prenne forme, se renforce et devienne LE marché, tout simplement. Donc, si vous doutiez encore de la notion de « délai incompressible » (dix ans pour qu’une innovation s’installe, vingt ans pour qu’elle atteigne le premier seuil de généralisation et trente ans pour qu’elle se banalise), repensez au cloud…

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Baisse du niveau : quand il est triste d’avoir raison…

Cela fait un bon moment que je le dis, le répète (au point que c’est devenu une blague avec mes fils) : le niveau baisse inexorablement. Mais quel niveau ?

Le niveau intellectuel, le niveau mental de nos contemporains. Pour s’en persuader, il suffit de regarder ce qui est proposé par les médias : toujours plus bas, toujours plus bête… Et ça empire chaque année : aucun titre, aucune chaine, aucune station n’est épargnée.

Mais, alors que j’avais hélas l’impression de prêcher dans les désert, je constate que ça commence à remonter à la surface… Un documentaire Arte « Demain, tous crétins ? » fait le point sur l’influence des perturbateurs endocriniens (encore eux !) sur le développement du cerveau des jeunes enfants.

 

Voici le texte de présentation de ce documentaire :

Baisse du QI, troubles du comportement et autisme en hausse : cette enquête alarmante démontre que les perturbateurs endocriniens affectent aussi la santé mentale.
Et si l’humanité était en train de basculer vraiment dans l’imbécillité, comme l’imaginait en 2006 la cruelle fiction de Mike Judge « Idiocracy » ? Depuis vingt ans, les scientifiques constatent avec inquiétude que les capacités intellectuelles ne cessent de diminuer à l’échelle mondiale. Une baisse du QI a été observée dans plusieurs pays occidentaux. À cela s’ajoute une explosion des cas d’autisme et des troubles du comportement. En cause : les perturbateurs endocriniens, ces molécules chimiques qui bouleversent le fonctionnement de la thyroïde, essentielle au développement cérébral du fœtus. Présentes dans les pesticides, les cosmétiques, les mousses de canapé ou encore les plastiques, ces particules ont envahi notre quotidien : nous baignons dans une véritable soupe chimique. Aux États-Unis, chaque bébé naît ainsi avec plus de cent molécules chimiques dans le sang. Mais comment limiter leurs effets ? Quelles solutions peut-on mettre en place pour préserver les cerveaux des générations futures ?
Épidémie ?
Huit ans après « Mâles en péril », qui révélait l’impact des perturbateurs endocriniens sur la fertilité, Sylvie Gilman et Thierry de Lestrade tirent à nouveau la sonnette d’alarme en dévoilant l’effet néfaste de ces mêmes polluants sur notre intelligence et notre santé mentale. « Demain, tous crétins ? » relaie la parole de chercheurs engagés, comme la biologiste Barbara Demeneix, spécialiste de la thyroïde, ou la biochimiste américaine Arlene Bloom, qui mène depuis les années 1970 un combat acharné contre l’utilisation des retardateurs de flammes (mélanges chimiques ajoutés à une grande variété de produits industriels comme les plastiques, les textiles et les équipements électriques ou électroniques pour les rendre moins inflammables). Leurs études et d’autres nous alertent sur un problème de santé publique dont les législateurs, sous l’influence des lobbies industriels, n’ont pas encore pris la mesure.
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Les touches « médias » sur MacOS High Sierra

Si, comme moi, vous utilisez MacOS, la dernière mise à jour réserve une (mauvaise) surprise : les touches médias du clavier, si pratique pour démarrer, arrêter iTunes ou pour changer de morceau, ne fonctionnent plus !

Hé oui, merci Apple !
J’imagine que c’est encore une idée « géniale » de Ive et qu’on ne va pas avoir de correctif (reconnaitre qu’ils ont tort ? pas dans le genre de la maison…). Donc, faut trouver une solution, vite et simple svp… Et je l’ai trouvée, testée, vérifiée (sur deux Mac différents) et je peux certifier : ça marche !

Où, quoi, qui comment ?
Pas d’affolement, suffit de suivre ce lien et d’appliquer la procédure à la lettre (c’est en français, en plus…)…

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