La diffusion du tome 1 de « Perdu dans le temps » s’intensifie !
Il est est désormais disponible pour l’iPad sur la librairie iBooks store :
"Perdu dans le temps" tome 1 désormais disponible sur l'iPad...
Mais ce n’est pas tout… Grâce à immatériel, mon livre est également disponible sur un large réseau de librairie en ligne comme le « Furet du Nord », « feebooks » ou « ePagine » :
"Perdu dans le temps" tome 1 disponible au format Epub et mobipocket sur de nombreuses librairies en ligne...
Grâce à notre accord avec le distributeur « Immateriel », notre livre est désormais disponible dans un large réseau de librairies en ligne… Pour avoir le détail, voyez notre page « acheter le livre« …
Et bientôt également sur fnac.com !
Grâce à « TheBookEdition », j’ai pu mettre en vente une version revue et corrigée du tome 1 de « Perdu dans le temps » alors que je travaille justement en ce moment sur le tome 2… Profitez-en pour le découvrir !
Voici une vidéo courte (12 minutes) mais excellente issue du « dessous des cartes », une très bonne émission récurrente sur Arte… Cette fois, le « dessous des cartes » se penche sur le « peak oil » et livre une synthèse équilibrée et bien documentée :
Enfin, la version papier de notre ouvrage est disponible chez TheBookEdition… En plus de la version papier, vous pouvez aussi acheter la version PDF pour 9,99 € au lieu de 30,25 € pour la version papier.
Enfin, la version papier de notre ouvrage est disponible chez TheBookEdition… En plus de la version papier, vous pouvez aussi acheter la version PDF pour 9,99 € au lieu de 30,25 € pour la version papier.
Après avoir consacré les quinze derniers mois à notre livre sur l’histoire de l’informatique, je peux enfin reprendre mon travail sur mes projets en cours : finir « Hacking » et écrire le tome II de « Perdu dans le temps« … Pour ce qui est de ce dernier, cela avance puisque je viens de mettre en ligne le premier chapitre de ce tome II !
Vous pouvez donc le lire en avant-première sur Scribd et vous pouvez-même le lire directement ci-dessous : Perdu Dans Le Temps -T2-Chap1
Le son de cette vidéo est médiocre et elle met un peu de temps à laisser la parole à Larry mais le reste vaut la peine (même si on a du mal à le comprendre parfois) :
L’IBM 360 tient une place particulière dans la première partie de notre ouvrage : c’est le premier mainframe moderne de l’histoire et c’est surtout le premier à avoir introduit la notion de gamme compatible, donnant ainsi naissance à l’industrie informatique moderne telle qu’on la connaît encore aujourd’hui…
Voici donc quelques vidéos qui présente ce monument de l’histoire :
Si vous n’avez ni Kindle ni iPad mais que vous disposez d’un autre lecteur (comme le Cybook, l’Oyo ou le FnacBook), vous pouvez désormais acheter et lire notre ouvrage dans les meilleures conditions !
Nous proposons à partir d’aujourd’hui l’achat direct à partir de notre site et nous vous l’enverrons par email, voyez notre offre sur cette page.
Voilà, c’est fait, Novell vient de se faire racheter par Attachmate et, on peut bien le dire, il s’agit d’un non-événement !
En effet, Novell était un « mort-vivant » depuis bien des années après avoir échoué à concurrencer Microsoft… Mais qui est Attachmate ?
Un éditeur de logiciels d’administration qui a débuté en faisant de l’émulation terminal pour PC, rien de très glorieux donc !
Donc, c’est bel et bien le terminus pour Novell qui laissé passer sa chance il y a bien des années. Sic transit gloria mundi!
Dernièrement, nous vous montrions le « sale’s pitch » de Steve Ballmer sur Windows 1.0. Aujourd’hui, pour célébrer les 25 ans de Windows, voici une vidéo silencieuse qui montre comment fonctionnait l’ancêtre… C’est ainsi qu’on voit le chemin parcouru !
Voilà une bonne question : finalement, l’histoire (et son étude), ça sert à quoi ?
Eh bien, à mieux comprendre le présent, tout simplement !
Voici une courte démonstration appuyée d’un exemple puisé dans l’actualité avec Nokia…
Et puisque dans cette vidéo, j’évoque le « mantra » de Steve Ballmer, voici donc la fameuse vidéo où on le voit répéter « developers, developers, developers » :
Tenez, puisqu’on évoque Steve Ballmer, voici une autre vidéo où il apparait pour « vendre » la version 1.0 de Windows (et même avec tout le talent de Steve, c’était pas un exercice facile !)… C’est aussi grâce à des vidéos « historiques » comme celle-ci qu’on se rend compte que, décidément non, Ballmer n’a pas changé…
Oui, après la version pour Kindle (disponible depuis le 24 octobre), voici la version pour iPad en ligne depuis le 29 octobre (pour la version papier, il va falloir patienter encore un peu…) !
Cela fait plaisir, vous pouvez me croire !
Pour le trouver, faites une recherche sur « cow-boys contre chemin de fer » car, des titres comme celui-là, il n’y en pas deux… Il est proposé à 9,99 € et, bien entendu, on peut télécharger un extrait (le livre n’est pas protégé par DRM, ni sur la version Kindle, ni sur la version iPad…).
Notre livre sur la boutique iTunes pour l'application iBooks
P.S (30 octobre): Pour illustrer un exemple de cow-boy, je citerais une interview de Mark Pincus dans Wired. Pincus est le fondateur de Zynga, l’éditeur de Farmville et Mafia Wars.
Pincus dit qu’à ses débuts, il pensait que les grands entrepreneurs ne faisaient pas de bons employés car ce sont des iconoclastes et des non-conformistes qui n’ont aucun respect pour l’autorité – et que ça le caractérisait à l’époque. Il dit avoir été viré de certaines des meilleurs compagnies des Etats-Unis.
Voilà un billet qui va en faire hurler quelques-uns… Oui, aujourd’hui, je vais lister les avantages du livre numérique sur le livre papier (et, oui, j’admet que l’inverse est également possible : écrire un billet sur les avantages du livre papier sur le livre numérique comme de pouvoir le prêter ou l’offrir mais même à ce niveau, ces différences vont progressivement s’effacer puisqu’Amazon vient d’annoncer un système de prêt de ces titres pour le Kindle).
Certains vont hurler car, pour une raison qui m’échappe, le livre papier est sacralisé. Selon moi, c’est absurde. J’ai beaucoup d’affection pour certains livres de ma bibliothèque, c’est vrai mais c’est rapport à leurs contenus, pas au fait qu’il soit fait de papier !
Les supports évoluent, changent, disparaissent car c’est bien le contenu qui compte. Les morceaux de musique étaient sur disques vinyls, ils sont passés sur CD et, désormais, sont complètement dématérialisés et ça change quoi ?
J’écoute toujours les mêmes et avec autant de plaisir. Pareil pour les films, les DVD actuels ont quelle espérance de vie désormais ?
Bref, revenons aux livres et voici la liste des avantages que je vois pour les supports numériques versus les supports papiers :
1- on peut emporter sa bibliothèque avec soi
Quand on part en voyage, on peut emporter 2/3 livres avec soi mais, au-delà, ça devient tout de suite nettement moins pratique… Le lecteur numérique est aux livres ce que le lecteur MP3 est aux disques : la liberté liée à une grande capacité d’emport. Sur mon kindle, j’ai déjà plusieurs dizaines de titres (principalement des PDF d’ailleurs mais là n’est pas le sujet). Sur mon Cybook, c’était pareil et c’est grâce à sa capacité que j’ai pu emporter avec moi partout et lire « l’histoire de la révolution française » par Adolphe Thiers en 20 volumes… Ving volumes, vous imaginez cela en support papier ?
2- la lecture est confortable
Oui et il ne s’agit pas seulement de lisibilité (encore que l’argument lisibilité est seulement valable pour les lecteurs basés sur le procédé Epaper, voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/Papier_%C3%A9lectronique). Car s’il y a bien un truc que je n’aime pas avec les livres papiers, c’est de devoir les tenir à deux mains (sinon, l’effet mécanique d’une reliure rigide tend à refermer le livre…) !
Je ne suis pas le seul à être dérangé par cette posture obligatoire (sauf à « casser » franchement la reliure ce qui peut entrainer d’autres problèmes comme la perte de pages…) puisqu’il existe même des accessoires pour tenir le livre en position sans qu’il puisse se refermer accidentellement. Passons aussi rapidement sur la nécessité d’un marqueur physique pour repérer le point de lecture, le lecteur numérique gère tout cela bien mieux.
3- un système de référence embarqué est présent à tout instant
Sur le Kindle, on peut avoir la définition d’un mot simplement en plaçant le curseur devant lui et l’entrée correspondante du dictionnaire s’affiche (un simple résumé sur 2 lignes mais on peut avoir plus simplement en appuyant sur une touche). Précisons tout de même que, pour le moment, il s’agit du dictionnaire anglais (Oxford Dictionary of English) puisque le Kindle n’est pas encore « francisé », loin de là !
Sur l’iPad (application iBooks), c’est encore mieux : on le choix entre le dictionnaire ou wikipedia.
Quand on lit un livre en anglais (ce qui est mon cas en ce moment avec « State of fear » de Michael Crichton sur mon Kindle, voir à http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tat_d’urgence_(roman)), c’est carrément pratique et j’y fais appel assez souvent…
4- la prise de notes est facilitée
Le Kindle est équipé d’un clavier. Avant de le recevoir, je me demandais si cela était bien utile… Désormais, je ne me pose plus la question car je l’utilise, tout simplement !
Grâce à ce clavier et à la gestion des notes intégrée au logiciel, la prise de notes est facile et il est ensuite simple de parcourir ces notes et de les gérer. Dans le cadre de la relecture/corrections d’un livre, je peux dire que c’est d’une grande aide comme je viens de la vivre avec notre livre sur l’histoire de l’informatique…
5- l’achat de titres est facilité et la livraison est immédiate
Bon, une fois de plus on est dans la satisfaction de la pulsion immédiate qui caractérise si bien notre société de consommation !
Mais on doit admettre qu’il est tout de même bien agréable de ne pas avoir besoin d’attendre sa livraison par la poste pour commencer la lecture d’un titre qu’on vient de commander !
Ce côté achat presse-bouton est sans doute critiquable dans son principe mais bien pratique dans son application, j’avoue…
6- il est possible de lire des extraits avant d’acheter un nouveau titre
Alors ça, c’est un vrai plus, sans conteste !
Pourvoir télécharger gratuitement le ou les premiers chapitres d’un ouvrage pour l’évaluer, voilà qui va dans le bon sens. Du coup, on évite une bonne partie des déceptions (pas toutes car certains titres commencent bien et partent en vrille après !).
7- la « lecture sociale » devient possible
Sur le Kindle, on peut consulter les passages les plus souvent soulignés (view popular highlights) par les autres lecteurs. Ce n’est pas encore grand chose mais imaginez ce qu’on va pouvoir faire en creusant cette direction. Là, le livre numérique a un boulevard devant lui, on ne sait simplement pas à quelle vitesse les acteurs de ce marché vont être capable de l’exploiter…
8- l’auteur va pouvoir interagir avec ses lecteurs
Là, c’est à prendre au futur car ce n’est pas encore vrai sauf rares exceptions (il y a quelques auteurs qui ont choisi de diffuser leurs livres à travers des applications spéciales afin d’y inclure un forum par exemple et ainsi établir un lien interactif avec leur lectorat). Ici encore, c’est comme pour le point #8, ça va prendre du temps mais c’est une dimension qu’on va voir grandir, inévitablement et où seul le livre numérique peut aller…
9- le prix des titres est inférieur aux versions papier
Sur ce dernier point, il faut avouer que ce n’est pas toujours vrai : sur Amazon, on trouve désormais des livres en version Kindle qui sont au même niveau de prix que les versions papier (une évolution assez mal reçu d’ailleurs… Le NYT l’évoquait dernièrement). Autre point important qui réduit un peu l’intérêt de ce 9ème avantage, c’est que le différentiel de prix (entre version numérique et version papier) n’est pas aussi élevé qu’il le devrait et c’est particulièrement vrai sur l’offre venant des éditeurs français… On peut dire que ces derniers « font de la résistance » vis-à-vis de ce nouveau marché et c’est une attitude que j’ai du mal à comprendre…
Pour conclure, même si je pense que le livre numérique présente bien tous les avantages listés ci-avant, il faut tout de même avouer qu’il ne représente encore pas grand chose sur le marché français… Alors que la place du livre numérique est déjà bien ancrée sur le marché US, on doit dire que, chez nous, on en est encore qu’au début.
Voilà, il est enfin là : notre livre « Cow-boys contre chemin de fer ou que savez-vous vraiment de l’histoire de l’informatique ? » vient d’être disponible sur Amazon.com en version Kindle et une version pour l’iPad (via l’application iBooks et iTunes) est en préparation… La version papier suivra après mais ça encore prendre un peu de temps.
La page d'amazon.com où l'on peut acheter notre ouvrage pour le Kindle...
Je suis vraiment heureux d’avoir abouti car cela a été un long travail… Et également un très gros travail : avec 1 040 882 signes, c’est le plus gros livres que j’ai jamais rédigé (mais pas seul, il ne faut pas oublier mon co-auteur, Laurent Poulain, voir à http://www.histoireinformatique.com/?page_id=13). Pour vous donner un ordre d’idée, ça représente 4 à 5 fois le volume de « Les réseaux sociaux » !
L’attente est enfin terminée !
Vous pouvez acheter le livre sur la « kindle store » d’Amazon.com sur cette page…
La page d'amazon.com où l'on peut acheter notre ouvrage pour le Kindle...
Le livre est proposé à $13,79, ce qui fait un peu moins de €10 (selon le taux de change du mois d’octobre…). Etant donné que le livre est très volumineux (18 chapitres, 167409 mots, 10408882 signes, soit entre 500 et 600 pages au format A5 !), c’est vraiment un prix minimum pour une telle somme (la version papier sera au moins deux fois plus chère…).
Finalement, cela a pris moins de temps que prévu (ou devrais-je dire « redouté » ?)… Puisque le fichier ePub est désormais bon pour le service comme le prouve mes tests sur l’iPad. Bon, reste désormais à le faire accepter par Apple sur le iTunes Store…
La table des matières vu par l'application iBooks
La bibliothèque iBooks où on peut voir la couverture du livre...
Maintenant que la version pour le Kindle est bouclée, il est temps de s’attaquer à la version pour l’iPad… L’application iBooks réclame des livres au format ePub. Donc, j’ai entamé la procédure de conversion et mon premier test me montre que, oui, il y a des adaptations à faire !
Tout cela risque de prendre une bonne semaine…
La couverture de notre livre sur l'iPad... ça "sort" bien !
Notre livre sur l’histoire de l’informatique devrait être disponible pour le Kindle d’Amazon la semaine prochaine !
En effet, je viens juste de lancer le processus de publication sur la plateforme DTP d’Amazon (dont dépend les titres publiés pour le Kindle). Cela va prendre encore deux ou trois jours de vérification par le staff d’Amazon DTP mais je suis soulagé d’avoir enfin aboutit…
Depuis 24H00, les dernières relectures/corrections se sont succédés à un rythme soutenu… La table des matières ma donné du fil à retordre et pas mal de détails anodins de dernière minute aussi. Mais bon, c’est fait et, désormais, on va pouvoir s’occuper de la promotion de cet ouvrage !
Voilà comment doivent s’apprécier les sports mécaniques : dans la beauté troublante et l’émotion que dégage ces images !
Mais il y a plus !
Voici l’occasion de vivre la course de l’intérieur : une longue vidéo (à télécharger) de la toute dernière course de Soheil Ayari dans cette saison du championnat de France GT… On ne peut pas faire plus immersif !
Je viens de terminer l’ultime (du moins, j’espère !) relecture/corrections de mon livre sur l’histoire de l’informatique : plus de 480 corrections à effectuer dans la foulée !
Bientôt la sortie…
Les 480 notes du livre sur le Kindle... Qui s'avère bien pratique dans cette longue tâche !
Le Web regorge de ressources, récits et références sur l’histoire de l’informatique… Cette fois, revivez les débuts du décisionnels avec un des pionniers en la matière : Michael S. Scott Morton (interview de Michael S. Scott Morton et un article « A Brief History of Decision Support Systems« …
En ce moment, la F1 est à la mode !
Pas la vraie qui continue à offrir un triste spectacle (le championnat est animé mais pas les courses… Cherchez l’erreur !) mais bien la F1 comme prétexte à deux nouvelles simulations intéressantes : « F1 2010 » publié par Codemasters et « Ferrari Virtual Academy » (FVA) qui provient directement du constructeur du même nom… Voyons cela de plus prêt.
Une fois plus, je dois le redire : « comparaison n’est pas raison » et il est injuste de mettre ces deux logiciels sur le même plan car les deux offres sont très différentes. En effet, l’une (FVA) est une simulation pure et dure et très limitée dans son contenu et même son mode de fonctionnement alors que l’autre (F1 2010) est riche et complète mais ne prétend pas (heureusement !) être une simulation pure et dure…
Commençons par FVA qui est proposé à partir du site http://www.ferrarivirtualacademy.com/game/en/index.jsp et uniquement en téléchargement. Il s’agit, pour le moment, d’une offre très limitée : une seule voiture (la F1 2010 rouge, of course) et un seul tracé (Fiorano, le circuit d’essais de la scuderia, tant qu’à faire, autant rester chez les « rouges » !). Bien entendu, ce n’est pas gratuit : il vous en coûte 15€ pour avoir le droit de télécharger la merveille et de l’installer… Si vous sentez un ton ironique quand j’écris « merveille », vous ne vous trompez pas : autant le dire tout de suite, je suis loin d’être un fan de la scuderia car, depuis que le Commendatore est mort, c’est clairement devenu un repaire de voyous (pas étonnant que Schumacher s’y soit trouvé si bien !).
Donc, je ne suis pas sensible à « l’honneur de conduire une voiture rouge » et mon détachement est aussi un gage d’objectivité.
Car il s’agit ici de juger une mod basé sur NetKar pro, c’est évident : il est facile de reconnaître cette simulation sous le « maquillage » sommaire fait par Ferrari. NetKar pro est une excellente simulation, une des meilleures disponibles sur le marché mais elle souffre seulement de peu de fréquentation online et d’une offre pauvre au niveau du contenu (moins pauvre qu’au tout début mais tout de même bien restreinte si on compare aux autres titres).
Donc, la vraie question est celle-ci : cela vaut-il la peine de payer 15€ pour ce qui n’est qu’une mod de NetKar Pro ?
Car, c’est bizarre, tous ceux qui hurlent qu’iRacing est trop cher ne sont pas très loquaces cette fois… Y aurait-il une « omertà » parce qu’il s’agit de Ferrari ?
Bref, la réponse est comme d’habitude : ça dépend. OK, « ça dépend » (s’il y a du vent ?), mais ça dépend de quoi, tu peux être plus précis, svp ?
Ben, ça dépend de vous et de ce que vous attendez, voilà !
Si vous êtes un top pilote et que vous avez envie de vous confronter aux autres aliens en faisant du « hot lap » au volant d’une machine qui est une vraie « bête » à emmener, alors, oui, ça vaut 15€ sans aucune restriction !
En revanche, si vous faites du Simracing « juste pour jouer » et parce que vous « aimez les jeux de bagnoles », alors cette mod n’est clairement pas pour vous, point.
Pour en dire tout de même un peu plus, voici MON avis sur FVA…
Tout d’abord, c’est beau, superbe même. Les détails sont soignés et les puristes vont apprécier les pneus qui se salissent lors d’un hors-piste (et qui ne reviennent à la normale que progressivement). Le feeling est également à la hauteur de ce qu’on connaît sur NetKar Pro avec un bonus : cette fois, on a en main une voiture qui ne manque pas de punch (et c’est bien le moins qu’on puisse dire !), ça change -en bien- du NetKar standard qui n’offre que des monoplaces un peu limitées en moteur. Le pilotage est précis, sauvage et la voiture est la fois facile (si on se traîne) et difficile à dompter (si on essaye de ne plus se traîner…).
Donc, sur le plan de la simulation « pure et dure », rien à dire, on touche au pinacle et seul iRacing peut prétendre faire aussi bien (voire mieux dans quelques aspects mais approfondir ce point nous emmenais trop loin…). Mais si on regarde les autres points, il y a tout de même pas mal à nuancer : pas de gestion des dégâts (vous pouvez prendre un rail à fond, la belle monoplace n’aura même pas les moustaches froissées !), pas de gestion de la météo et, surtout, un seul mode de fonctionnement, le hot lap et c’est tout !
Même sur l’aspect setup, vous pouvez repasser : vous avez le choix entre quatre setup verrouillés et c’est tout, aucun ajustement possible et si vous n’êtes pas content, c’est pareil…
Ceci a aussi le mérite de la simplicité et permet de comparer les pilotes sur des bases équivalentes au moins… Car c’est bien de cela qu’il s’agit : c’est une compétition de hot lap et le résultat est un tableau mondial où des milliers de pilotes s’affrontent. Quelque part, c’est aussi le moyen de s’étalonner par rapport aux aliens de tous les horizons… Qu’est-ce que je vaux vraiment face à la « crème de la crème ? », qui d’entres nous (les Simracers) ne s’est pas posé la question ?
Eh bien, « grâce » à FVA, j’ai la réponse et elle n’est pas agréable !
Bon, je n’aime pas le « hot lap », je n’aime pas ce tracé (Fiorano est un peu trop « mickey mouse » pour moi, c’est sûr que j’aurais préféré le Mugello !) et je ne suis pas un grand fan non plus des monoplaces modernes (où l’appui est important et où il faut vraiment « pousser » pour sentir la limite) mais, tout de même, je ne m’attendais pas à un tel écart : je suis à plus de 6 secondes des meilleurs !
En effet, avec mon 1.02.640, je fais bien pâle figure face aux aliens qui tournent en 56″… Je ne suis donc que 2544ème des presque 3000 qui ont posté un temps sur le tableau visible sur le site de FVA. Le petit module de télémétrie est aussi bien utile pour voir où on perd du temps par rapport au tour-étalon établit par Massa : c’est à chaque freinage que je laisse un petit (ou un grand !) quelque chose… Je n’arrive jamais à obtenir une telle puissance de freinage aussi rapidement sa courbe de progression de la puissance de freinage est presque droite alors que la mienne suis une pente… Peut-être est-ce dû au fait que j’utilise une pédale de freins à capteur de pression et non à déplacement ?
Bref, en tout cas, je suis loin (même si j’ai réussi un 1.01.9 en mode « entraînement », je n’ai pas réussi à le refaire en mode « hot lap enregistré »… Mais cela n’aurait pas changé grand chose) et j’admet donc que, selon FVA, je fais définitivement partie des lents… Tant pis !
Mais ce n’est pas à cause de cette médiocrité que je juge FVA comme étant dénué d’intérêt, au contraire, je pense qu’il s’agit là d’une offre très attractive si et seulement si vous êtes dans le bon profil : fan de hot lap et un peu alien sur les bords…
Pour les autres, investissez plutôt vos 15€ dans un essai d’iRacing, ce sera de l’argent mieux dépensé car il y a là « more value for money » comme ils disent (et c’est vrai !).
Passons à « F1 2010 » de Codemasters. Cela coûte un peu plus que 15€ (j’ai payé le mien 36€ en le commandant à Amazon) mais, cette fois, la question du prix est secondaire car, incontestablement, on en a pour son argent même quand on est déçu par le comportement au volant… Si j’ai dis que FVA était superbe, je me dois de dire que F1 2010 est somptueux, époustouflant même !
Voyez la vidéo du trailer… Eh bien, « en vrai », c’est aussi bien !
Là, vraiment, on touche à la pointe de ce qu’on peut faire aujourd’hui (machine puissante obligatoire, évidemment !) et on sent bien que l’inspiration console est bien présente. C’est sous la pluie que c’est le plus impressionnant : le spray monte et descend en fonction de la vitesse et du nombre de voiture devant vous et je peux dire (pour l’avoir vécu lors de ma toute première course en monoplace) que c’est tout à fait ça !
Codemasters joue aussi à fond sur l’immersion en faisant en sorte que l’ambiance soit présente (et bien restituée, pour autant que je puisse en juger) partout où c’est possible, bien vu !
Bon, OK, c’est beau et immersif, mais au volant, ça donne quoi ?
En fait, là encore, ça dépend (ça y est, il remet cela !)… Ça dépend du temps que vous y passez, des efforts que vous y mettez et de ce que vous attendiez… Je m’explique : mon tout premier contact sur la piste au volant avec F1 2010 a été affreux, une grande déception (encore que je n’attendais pas à être subjugué, je savais bien que ce titre allait être largement un ton en dessous de FVA sur ce plan) car je n’avais aucune sensation !
Le défilement était lent (FPS très bas), le son était décalé (changement de vitesse restitué en retard !), la vision cockpit beaucoup trop basse et les couleurs trop fades. j’ai failli ranger la boîte avec « daube moisie sans aucun intérêt » comme verdict. Mais, par curiosité, j’ai lu ce qui se disait sur les forums (y compris sur celui de GTRO, of course) et là, j’ai compris qu’il fallait un peu creuser avant d’abandonner…
J’y ai passé un peu de temps et j’ai trouvé des réglages adéquats : les FPS sont enfin corrects, les couleurs sont corrigées (on n’a plus ce ciel « couleur pollution » au-dessus de la tête… Les développeurs de Codemasters sont situés à Birmingham, l’ambiance locale a dû les influencer plus que de raison !) grâce aux mods disponibles sur le net, le son est synchrone et j’utilise la vue TV qui permet aussi de voir les rétros… Et, avec tout cela, ça change tout, vraiment. En fait, la version PC de F1 2010 est terriblement sensible à vos réglages et à vos choix. En fonction de ce que vous choisirez, vous aurez un bon affichage, un son plus que valable (extra en fait les effets de réverbération dans le tunnel de Monaco !) et des bugs qui se font discrets ou, au contraire, un truc injouable et super-buggé !
Voilà pourquoi il faut y passer du temps et essayer divers réglages avant de tout jeter. C’est inutile que j’indique quels sont MES choix car je suis persuadé que le résultat dépend aussi largement de votre configuration… Combinatoire classique du délicat mélange d’un logiciel sophistiqué avec des matériels très divers. Mais, clairement, quelques essais erreurs font toute la différence, croyez-moi !
Du coup, je n’ai pas encore constaté les nombreux bugs relatés ça et là : pas de pneus qui crèvent pour un oui ou pour un non, pas de retenue interminable dans les stands et ainsi de suite… Je ne dis pas que ces bugs n’existent pas, je dis simplement que, pour le moment, je ne les ai pas rencontrés (et j’ai passé assez d’heures pour avoir une expérience significative selon moi).
Bon, revenons à la question centrale : le feeling au volant, c’est top ou c’est bof ?
En fait, c’est un peu entres les deux : la voiture n’est pas « sur des rails » comme une arcade comme j’ai pu le lire quelquefois mais ce n’est pas non plus la finesse et la difficulté de FVA… Par exemple, les aides de type ABS ou antipatinage sont inutiles, même sous la pluie, c’est dire. Mais cela ne veut pas dire pour autant que c’est « super-facile »… Là encore, une explication s’impose : si vous n’attaquez pas et que vous connaissez à peu près le circuit, alors vous pouvez enchaîner des dizaines de tours sans mettre un pneu dans l’herbe tout en pensant à autre chose (situation tout à fait improbable avec iRacing par exemple !). En revanche, si vous voulez aller chercher un bon chrono, c’est un autre paire de manche et il va falloir vous crachez dans les mains !
Et là, c’est tout de suite nettement moins facile. Ceux qui disent que la voiture décroche sans être rattrapable exagèrent : c’est vif mais ça reste gérable (alors que FVA est encore bien brutal !). Donc, on se retrouve avec un « gameplay » bien équilibré : facile si on se contente de rouler, difficile si on veut être et rester devant !
Les dépassements par exemple, sont difficiles mais c’est bien parce que c’est comme cela en F1 : il y a peu d’occasions (même si celui qui est devant est vraiment plus lent) et il faut 1) ne pas les louper 2) bien viser !
Mais alors, c’est la simulation de l’année ?
Non parce que, d’une part ce n’est pas vraiment une simulation (je vais y revenir) et, d’autre part, parce qu’il y a tout de même, selon moi, quelques défauts gênants :
– on ne voit rien dans les rétros.
– le son est le même pour tous les moteurs (un détail ? c’est à chacun de juger…).
– les circuits modernes sont horribles… Attention, sur ce dernier point, c’est la réalité que je juge, pas le travail de Codemasters !
Les tracés « non-traditionnels » sont -tous- des mauvaises plaisanteries qui font que même Montréal et Monza deviennent des circuits intéressants (laissons Spa de côté car qui sait combien de temps un pareil joyau va rester intact… Quand on voit déjà comment ils s’acharnent à remanier la dernière chicane, tout est à craindre !), c’est vraiment terrible !
De même, je ne suis pas du tout fan du règlement actuel de la F1 moderne avec cette obligation de changer de pneus en cours d’épreuve… Ça donne un déroulement haché et difficile à comprendre, même vécu de l’intérieur, c’est dire !
Les bugs ou les compromis surprenants (comme les temps des IA pendant les essais) ne sont pas niés par l’équipe de développement de Codemasters qui promet un patch pour bientôt et c’est mieux que rien. De plus, les moddeurs ont commencé à travailler et les premiers résultats sont encourageants puisque les défauts d’affichages sont presque tous corrigés grâce à eux…
Ceci dit, les courses sont très prenantes et on n’a pas le temps de s’ennuyer. Votre ingénieur de piste est omniprésent à la radio et même si c’est parfois un peu répétitif, ses indications sont quelquefois bien utiles (et ça aussi renforce l’immersion). En fait, c’est là la clé de F1 2010 : plus on y joue et plus on apprécie.
Car oui, j’ose le dire, c’est plus un jeu qu’une simulation et tant mieux !
Cela nous fait une récréation bienvenue dans ce monde ultra-compétitif du Simracing Online… Donc, encore une fois, tout dépend de votre profil et de vos attentes : si vous recherchez la compétition online et le top du top en matière de pilotage, voyez plutôt du côté d’iRacing. Si, en revanche, vous voulez un titre où le gameplay a été vraiment travaillé (ce qui est contradictoire avec la notion même de simulation, j’insiste), alors ce dernier opus est pile pour vous et, quoi qu’on en pense, je trouve que Codemasters a bien travaillé, pour une fois !
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