==== mise à jour du 7 février 2011 : je viens d’en faire un livre, voir à http://www.alain-lefebvre.com/livres-perso/publier-sur-ipad-kindle-mon-nouveau-livre-sur-la-publication-numerique/ ====
Publier pour le numérique : iPad, Kindle, Epub et autres incontournables…
Il y a longtemps que je voulais rédiger cet article mais, finalement, j’ai bien fait d’attendre un peu car je n’ai pas arrêté d’en apprendre ces derniers temps sur ce domaine !
Il est vrai qu’il s’agit encore d’un domaine très immature et où les « terres vierges » sont légions… Bref, cet article ne doit pas être pris comme définitif sur le sujet mais cela devrait tout de même vous permettre d’en savoir plus sur « comment publier un livre pour les plates-formes numériques »…
Ces plateformes commencent à se multiplier mais je vais limiter mon propos aux deux tablettes de lecture » les plus en vue : le Kindle d’Amazon et l’iPad d’Apple. Mais en fait, traiter l’iPad permet de traiter aussi les autres lecteurs d’eBooks comme celui de la Fnac, celui de France-Loisirs ou ceux de Bookeen car tous reposent sur le format Epub. Seul le Kindle reste encore accroché au format mobipocket mais on peut imaginer que, à l’avenir, même Amazon devrait supporter tôt ou tard le format Epub.
Le Kindle : populaire aux USA, quasi-inconnu en France
Commençons par le Kindle. Je sais que le Kindle n’est pas encore très populaire auprès du public français tout simplement parce qu’Amazon n’a encore fait aucun effort en direction de ce marché : la « kindle store » n’est disponible qu’en anglais (en fait, il a deux kindle stores : une pour le marché US et une pour UK) et les titres disponibles sont en écrasante majorité en anglais. On peut dire qu’Apple a fait un bien meilleur travail avec l’iBooks store (pour l’iPad) qui a été rapidement disponible en français et avec une offre de titres dans notre langue qui n’est pas ridicule.
Cependant, Amazon a toujours procédé ainsi : le site marchand en français est apparu bien après la version anglaise et il a pourtant été un succès au bout du compte.
Bref, revenons au Kindle. C’est par cette plateforme que j’ai débuté mon expérience en la matière en janvier 2010 (c’est-à-dire justement au moment même où l’iPad était annoncé) car mon raisonnement était le suivant : il y a peu de titres en français sur la kindle store et cela va me permettre de « sortir du lot » avec mon livre « Perdu dans le temps« .
Un raisonnement qui s’est avéré juste puisque les ventes ont décollé rapidement, preuve qu’il y a des clients francophones équipés de Kindle et désireux de lire des livres dans notre langue.
Donc, pour publier pour le Kindle, il faut d’abord se créer un compte sur Amazon DTP (DTP pour Digital Text Platform). Amazon DTP est une très belle web application qui est gratuite et tout en anglais (quelle surprise !). Le gros du travail réside évidemment dans la préparation des fichiers que vous allez télécharger sur DTP afin de publier votre livre dans la Kindle Store. je dis LES fichiers car il y en aura au moins deux : la couverture d’une part et le texte d’autre part.
Pour la couverture, c’est simple : il faut faire un fichier JPEG ou PNG en quadri (même si le Kindle n’affiche encore qu’en N&B, l’application Kindle elle est disponible pour de nombreuses machines et la plupart sont capables d’afficher les couleurs…) et d’au moins 600 pixels en hauteur. Si vous ne savez pas faire cela, adressez-vous à un graphiste pro ou demi-pro qui sait bien faire ce genre de travail…
L’édition numérique et l’édition papier : deux mondes distinct !
Le vrai travail se situe sur le tapuscrit lui-même. Car une édition numérique est bien différente d’une édition papier et ce n’est rien de le dire !
Quand vous préparez un livre destiné à être imprimé, vous travaillez dans le cadre d’un format et de dimensions connues à l’avance. Votre pagination ne va pas varier au grè d’un changement de police de caractères car, de toutes évidences, votre futur lecteur n’a pas cette possibilité !
Tout change avec un ebook car le lecteur peut « personnaliser » son mode de lecteur plus ou moins en profondeur : il peut choisir l’orientation du texte, la taille de la police et même dans certains cas la fonte de caractère. Tout cela impacte fortement la pagination, le découpage du texte, son aspect et le placement des illustrations (quand il y en a). On n’est plus du tout dans le cadre bien connu des dimensions et du format immuable qui prévaut dans le cas du papier.
Donc, vous pouvez oublier tout ce qui est « autour » de votre texte : en-tête, pied de page, notes de bas de page, etc. Tout cela n’apparaîtra pas. La notion même de « page » est à reconsidérer : il faut plutôt visualiser votre contenu comme une page continue (qui peut être fort longue) avec seulement quelques ruptures au fil des chapitres et sections.
Du coup, la pagination totale de votre ouvrage peut varier sensiblement et il n’y a plus de valeur absolue comme on est habitué à avoir dans l’édition papier…
Du coup, dans une certaine mesure, on peut dire que la finalisation du tapuscrit est plus simple mais ne vous réjouissez pas trop vite… Il y a moins de travail d’un côté et plus de l’autre !
Je vais vous décrire ce processus mais je vais d’abord commencer par la démarche que j’employais avant de trouver l’outil idéal (Jutoh) que je vais présenter un peu plus loin. Si vous êtes pressé, sauter directement à la section « Jutoh » mais je vous recommande plutôt de prendre votre temps et de lire aussi la section ci-dessous car il y a des notions importantes qui y sont traitées…
Formater son texte en deux versions : HTML et Epub
Imaginons que vous partiez d’un document MS-Word qui contient l’ensemble de votre texte. MS-Word n’étant pas un format recommandé par Amazon DTP (le format PDF est lui aussi vivement déconseillé par Amazon DTP…), il faut donc convertir votre précieux texte dans un autre format… En regardant ce que recommandait Amazon DTP, je me suis décidé pour le HTML. Les éditeurs HTML sont nombreux mais j’ai arrêté mon choix sur SeaMonkey, un browser bien équipé plus ou moins dérivé de Firefox.
On peut faire autrement car il existe des programmes permettant de générer directement un .prc (l’extension du format mobipocket) à partir d’un document MS-Word ou d’un PDF… Et c’est le cas du Mobipocket Creator disponible gratuitement depuis http://www.mobipocket.com/en/downloadsoft/productdetailscreator.asp
Mais cet outil ne fonctionne que sous Windows et je travaille sur Mac, j’ai donc opté pour une autre voie… Formatter en HTML.
Avec SeaMonkey, j’ai pu faire un copier/coller de mon texte et avoir une version HTML de mon tapuscrit en un tour de main… Alors, faire du HTML standard, ça suffit pour formater un livre prêt pour Amazon DTP ?
Hélas non, ça serait trop simple !
Car le format mobipocket choisit par Amazon est certes dérivé de HTML mais il contient en plus certains tags spécifiques (non standard of course !) qu’il est indispensable d’employer… Ces tags sont nécessaires pour définir la table des matières et les ruptures de page (pour délimiter les chapitres). Il faut donc insérer ces tags directement dans le code HTML avec votre éditeur (SeaMonkey permet de faire cela puisqu’il donne aussi accès au code pur en plus du mode « wysiwyg »).
Basé sur HTML mais un HTML très rustique !
Tiens, pendant qu’on y est, parlons donc un peu de HTML car, finalement, c’est bien ce format quasiment universel (c’est celui des pages Web !) qui est à la base de tous les ebooks. En effet, mobipocket est basé sur HTML, comme je viens de le souligner, mais il se trouve que c’est également le cas du format Epub… Donc, vous allez forcément penser que si c’est du HTML, ça veut dire qu’en terme de mise en page, on peut faire plus ou moins la même chose que sur les pages du Web… Oui et non : oui, vous avez le droit de penser cela et non, ce n’est pas le cas mais alors pas du tout !
C’est bien du HTML mais un HTML qui ressemble fort à ce qu’on avait en 1994 avec la version 1.0 de ce standard… Pas du tout ce qu’on faire aujourd’hui avec la version 4 (et la version 5 est en train de prendre position…). Et ce niveau de HTML est terriblement limité : pas gestion des tables (pour faire des tableaux ou pour faire de la mise en page un peu élaborée), pas de placement précis des images et ainsi de suite… On doit se contenter des fonctions de base ce qui fait un sacré retour en arrière par rapport à la mise en page permise par les traitements de texte modernes ou à ce qu’on peut faire en matière de design de page web aujourd’hui. Mais bon, cette rusticité a du bon (ça évite de faire des erreurs et des fautes de goût !) et c’est pour tout le monde pareil. Et n’allez pas croire que le format Epub soit mieux placé que le format mobipocket sur ce plan… Il y a des différences entre les deux mais elles sont minimes. Mais l’avantage, c’est que votre texte une fois mis en conformité avec ces limites peut servir de base pour une génération à la fois au format Epub et au format Mobipocket… On ne peut être perdant sur tous les tableaux !
Comment obtenir une preview à partir de DTP ?
Une fois que vous avez formaté votre tapuscrit à la sauce HTML+tags spécifiques mobipocket (comme <mbp:pagebreak /> pour les ruptures de chapitres), vous pouvez charger le tout sur Amazon DTP. Je l’ai déjà dit, cette application est très bien faite et facile à utiliser (à condition de comprendre l’anglais of course !) mais elle présente tout de même un défaut : elle ne permet pas de récupérer son livre une fois celui-ci mit au format Mobipocket par Amazon DTP. Vous pouvez seulement faire une « preview » de votre livre dans une fenêtre du navigateur et cette visualisation est un peu approximative. Difficile de se contenter de cela. Amazon diffuse bien gratuitement un outil qui permet de faire cela mieux et en local sur votre machine : le « Kindle previewer » (existe pour Windows et pour Mac). Cet outil permet un rendu déjà bien fidèle de ce qu’affiche le vrai Kindle mais il impose d’avoir le fichier au format mobipocket de disponible…
Il existe bien une astuce compliquée pour obtenir le fichier au format final kindle (.azw) et la voici :
First, go to the Upload & Preview page for the title you’re publishing
Right click the “Download HTML” link and copy the link location
Paste the link into another browser window
Replace the “zip” with “azw” in the “file_type” part of the URL, then hit Enter
Firefox will tell you to save a .zip file – go ahead and save it
Rename this file so it has a .azw ending, then copy it to your Kindle
You should now see your title on your Kindle!
Bref, une fois satisfait, vous pouvez terminer la définition de votre ouvrage, choisir le prix et ainsi de suite. Il faut prévoir un délai (au moins 2/3 jours) avant que votre ouvrage soit validé par le staff de Amazon DTP qui sont très attentifs aux questions de droits : il va falloir prouver que vous êtes bien le détenteur des droits le cas échéants…
Et si vous faites une mise à jour quelques semaines après votre première mise en ligne (par exemple), le délai de validation est de nouveau là (et pendant lequel la version précédente n’est plus disponible à la vente !), il faut le savoir.
Voilà pour la partie concernant le Kindle. Voyons comment générer un livre au format Epub maintenant…
Mettre un livre au format Epub sur un Mac…
En partant d’un PDF ou d’un document Word, vous avez pas mal d’outils qui vous proposent de générer directement un fichier au format Epub comme Stanza ou Calibre. Mais vous n’avez alors aucun contrôle sur le résultat produit et vous ne pouvez passer en mode édition si nécessaire. Il y a aussi la toute dernière version de Page (iWork 09) qui prétend pouvoir exporter votre document au format Epub mais, à l’usage, cette fonction export se révèle tellement limitée (pas de support de la table des matières par exemple) qu’elle est inutilisable dans le cadre d’un travail sérieux…
J’ai donc cherché ailleurs et j’ai trouvé Sigil, un projet open source qui adresse précisément ce besoin et qui le fait pour toutes les plates-formes habituelles (Windows, Mac OS mais aussi Linux).
Je ne pouvais repartir de ma version en HTML (car elle contient des tags spécifiques) et j’ai donc employé le copier/coller pour recréer tous les chapitres dans un projet Sigil.
Sigil n’est pas encore un outil complètement achevé et je suis tombé sur des limites et sur des bugs qui rendaient son utilisation pénible et frustrante…
L’outil idéal qui permet de n’avoir qu’une version de son tapuscrit : Jutoh…
Frustré par les limites de Sigil, j’ai repris mes recherches de l’outil idéal et je suis tombé sur Jutoh. Sigil est gratuit et Jutoh est payant (mais pas cher selon moi), certes. Mais, au bout d’un moment, il faut bien admettre qu’on n’en a que pour son argent… Et avec Jutoh, je suis pleinement satisfait d’y avoir « investit » quelques euros (24€, ce qui est très raisonnable pour un logiciel de cette qualité) !
Pour Jutoh, le point d’entrée idéal est un fichier au format ODT (Open Office). J’ai donc convertit mon document Pages en document Word afin de pouvoir l’importer dans Open Office et le sauver au format ODT (vous suivez ?). Open Office est gratuit, on ne va donc pas se plaindre…
Une fois que vous avez votre « source » au format ODT, Jutoh l’avale, le convertit et le transforme en un projet Jutoh tout à fait utilisable. La génération de la table des matières et l’insertion d’images sont faciles. Et, cerise sur le gâteau, si vous avez installé correctement le Kindle Generator, Jutoh est capable de générer aussi une version mobipocket que Epub de votre ebook. Ce dernier point est important car il permet de n’avoir qu’une seule version de votre tapuscrit et, pour l’avoir fait, je peux vous assurer qu’il est pénible et aléatoire de devoir maintenir deux versions d’un même texte…
Publier pour iBook (iPad)… Pas simple !
Même si le format Epub est largement reconnu, vous avez sûrement envie que votre livre soit disponible sur la librairie iBooks d’Apple, spécialement mise en place pour l’iPad… Oui mais ce n’est pas si simple !
Tout d’abord, pour ouvrir un compte sur iTunes Connect, il vous faut un Apple ID (l’identifiant des développeurs) et un numéro fiscal aux USA… Gasp, voilà que ça se complique sérieusement !
Heureusement, j’ai pu passer par celui de Laurent Poulain qui vit à Boston. Et ce n’est pas fini !
Il faut aussi préparer son livre grâce à l’application iTunes Producer (à télécharger depuis iTunes Connect) qui n’est disponible qu’en version Mac OS… Etonnant non ?
Là aussi, pas de problème pour moi. Enfin, quand vous avez réussi à franchir toutes ces arcanes, votre ouvrage est enfin chargée sur iTunes Connect avant d’être validée par le staff Apple (ici aussi, comptez un délai conséquent, pire qu’avec Amazon !) pour finalement apparaître sur iBooks et donc sur l’iPad de vos proches, YES !
Un point-clé, la distribution
Il y a un élément qui ne change pas avec le numérique, c’est l’importance d’être bien distribué, surtout vis-à-vis du marché français, je m’explique… Aux USA, l’approche est plutôt ouverte, à part chez Apple où c’est un peu plus compliqué, les auteurs indépendants sont les bienvenus et on ne vous demande pas quelle est votre « part de marché » avant de vous ouvrir un compte sur Amazon DTP ou autre.
En France, c’est l’inverse, les auteurs indépendants sont méprisés et à chacune de vos demandes vous obtenez un « qui tu es toi ? » si même vous obtenez une réponse… Donc, si vous voulez voir votre ouvrage dans les pages des sites spécialisées comme Numilog ou des nouvelles librairies numériques comme celle de la Fnac.com, inutile de demander directement, ce n’est pas prévu et on ne vous répondra même pas. Il faut passer par un dis-tri-bu-teur, point. Actuellement, il y a 3/4 distributeurs principaux qui officient dans le monde de l’édition numérique. Je les ai tous sollicités et seul Immatériel m’a répondu (positivement, en plus !). Donc, j’ai pu charger mes livres sur la plate-forme d’Immatériel et ainsi les voir s’afficher sur les sites d’Epagine, Feedboks, Dialogues, Fnac.com et même Apple iTunes (iBooks iPad), ouf !
Conclusion
J’évoquais déjà ici les avantages du livre numérique sur le livre papier du point de vue du lecteur. Mais pour un auteur indépendant, l’édition en numérique a bien des avantages à condition de maîtriser les aspects techniques que nous venons de détailler (et qui sont à la portée de tous, pas besoin d’être un geek pour arriver à faire un ebook !). Tout d’abord, il n’y a plus de pagination minimum… Dans le monde de l’édition papier, vous n’êtes pas pris au sérieux si votre livre fait moins d’une centaine de pages. Ici, la notion de pagination est tellement variable que, du coup, elle est absente : sur les librairies numériques, vous remarquerez que vous n’avez presque jamais d’indication de volume sur l’ouvrage qui vous est présenté… Saut quand on peut télécharger un extrait (gratuit). Si on sait que l’extrait représente n% (10 à 15% le plus souvent) du livre complet, il est facile d’extrapoler son volument final.
Il y a la notion de prix pour se faire une idée.
Et là aussi, c’est un autre avantage du numérique : tous les prix sont possibles. Du coup, on trouve pas mal de titres qui sont proposés à moins de deux euros (et pour les livres à contenu réduit, c’est bien le moins !), une liberté qui est difficilement possible dans le monde du papier puisque les coûts sont liés (en partie) à la taille du livre à imprimer…
Juste un dernier mot… Ne pas confondre PDF et numérique : le PDF n’est qu’une déclinaison de la version papier. Et générer un PDF à partir de votre livre n’est pas produire un ebook (d’autant que la plupart des lecteurs ont du mal à afficher les PDF confortablement à part l’iPad).
Merci d’avoir partagé votre expérience, c’est intéressant. Si vous êtes prêt à abandonner le « wysiwyg » vous pouvez essayer publican, vous rédigez en docbook et ca génère le PDF/HTML/ePub. Ensuite pour le mobipocket, il doit bien y avoir un convertisseur correct de epub vers prc (et spontanément j’aurai cité calibre mais je ne l’ai pas essayé pour cette conversion spécifique).
https://fedorahosted.org/publican/
Je ne connaissais pas Publican, je vais y jeter un oeil donc !
Merci pour la suggestion…
Bonjour
enfin un article vécu, et non pas un xième copiécollé … Merci, je crois qu’on va se lancer…
mais deux petites questions SVP …
Quand vous dites « les ventes décollent » sur amazon, ça correspond à quels chiffres?
Et puis chez Apple, commend obtient on son numéro d’éditeur ?
merci d’avance …
Bonsoir,
Pour ce qui est de la première question, ça se situe autour d’une cinquantaine d’exemplaires par mois… OK, ça reste encore faibles comme volumes mais c’est en constante augmentation et si ça continue ainsi, on parlera de centaines dans un trimestre !
Pour la seconde question (comment obtenir un apple ID), il faut le demander mais je n’en sais pas plus car c’est mon coauteur (Laurent Poulain) qui s’est occupé de cela. Mais, clairement, pour être présent sur iTunes (et ainsi pour pouvoir vendre pour l’iPad), je conseille plutôt de passer par des distributeurs comme immatériel : non seulement c’est plus simple mais en plus c’est plus rapide (et pas plus cher car le niveau de marge est le même, que ce soit en indépendant ou en passant par un distributeur).
Voilà, bon courage !
Merci pour ce compte-rendu détaillé. J’ai fait un peu le même chemin que vous pour publier nos guides de méthodologie à destination d’étudiants ou d’éducation pour les parents qui jusque-là n’étaient accessibles qu’en pdf sur notre site (www.reussirmavie.net)
Je suis venue à bout du truc pour Amazon avec deux titres dans la bibliothèque (« Réussir ses révisions d’examens » et « Le rôle des parents dans l’orientation des jeunes ») me servant de Mobipocket Creator que j’aime bien car pas trop compliqué et on peut retravailler son doc en reprenant son texte en html (pour ajouter des liens par exemple) bien que je ne sois pas une fortiche du truc mais enfin je progresse.
Et maintenant, je m’attelle à l’iBook Store d’Apple. Sur le plan administratif tout est OK, compte iTunesConnect, ITunes Producer, mais alors je n’arrive pas à construire de fichiers ePub valables, ça ressort du « delivery » avec des messages d’erreur… la machine ne veut pas me les prendre et quand je les « checke », c’est plein d’erreurs !
Et aujourd’hui, voilà que je découvre Jutoh, qui m’a l’air pas mal en effet pour un travail quand même soigné (car mes guides ont des schémas, encadrés, photos.
Pensez-vous que je peux rentrer dans la machine le fichier en html déjà travaillé (avec liens et balises, j’ai pas envie de tout recommencé) et obtenir du ePub de qualité ? J’ai essayé, mais ça ne marchait pas car je n’avais pas téléchargé Kindlegen (comment et où le mettre dans Jutoh ?)
Je galère avec toutes ces explications en anglais, ça fait plaisir de trouver un post en français !!!!!!
Et votre avis en question subsidiaire : toujours 0 ventes pour mes deux guides sur Amazon (depuis fin décembre), ça vous parait normal ??
@ Michèle Longour : effectivement, il vaut mieux passer par Jutoh pour générer le fichier au format Epub.
Pour ce qui est du Kindlegen, il est facile d’indiquer à Jutoh où vous l’avez stocké, il suffit de de pointer le répertoire dans la section « helpers » des préférences.
Je ne sais pas si l’import d’un fichier HTML fonctionne bien sous Jutoh mais je vous conseillerais plutôt de faire autrement : importer votre fichier HTML dans Open Office afin de créer un fichier .odt à partir de ce document HTML… Car Jutoh importe très bien les fichiers .odt et cela devrait résoudre votre problème.
Pour ce qui est de la question subsidiaire, je crois qu’il faut attendre environ 3 mois avant de voir les ventes apparaitre enfin mais je ne suis pas trop sûr de ce dernier point. Un conseil toutefois : vos livre au format Kindle (puis au format Epub quand ils seront prêts !) devraient être visibles sur votre site http://www.reussirmavie.net (au oins des liens vers la kindle store) car, sauf erreur de ma part, ce n’est pas encore le cas aujourd’hui…
Voilà, bon courage !
BONJOUR,
TRES BONNE CONTRIBUTION, MERCI, MA CONCLUSION EST QU’IL Y A LA UN BUSYNESS COMPLEMENTAIRE À DEVELOPPER, CELUI D’ASSISTANCE A L’EDITION, JE M’EXPLIQUE.
IL Y A DES AUTEURS D’UNE PART, ET D’AUTRE PART DES GENS QUI SAVENT FORMATER UN TEXTE POUR LE RENDRE EPUBLIABLE, CAR LES QUALITÉS ET COMPÉTENCES SONT RAREMENT EN UNE SEULE PERSONNE.
JE SUIS PERSONNELLEMENT INTÉRESSÉ PAR CETTE COMPÉTENCE D’E-PUBLIABILITÉ POUR DES TEXTES EN SOUFFRANCE QUE J’AIMERAIS BEAUCOUP LIBÉRER DE LA GRAVITÉ QUI LES ATTACHENT ENCORE A SON AUTEUR !
CORDIALEMENT À TOUS
PIERRE FAYARD
Une plateforme incontournable pour la publication d’ebooks : http://www.needocs.com et son tutoriel pour la publication : http://blog.needocs.com/2011/04/05/comment-publier-un-document-ou-un-ebook-sur-needocs/
Ping : L’enjeu stratégique des services d’auto-publication
Bonjour,
J’envisage également de publier un livre sur une plateforme numérique, je me suis toujours posé la question : est-il possible de publier simultanément le même livre sur amazon et iBook store ? Pas d’exclusivité à accorder sur l’une ou l’autre des plateformes ?
@ Manès
Non, aucune exclusivité : vous êtes le détenteur de vos droits et vous le rester, même en publiant sur telle ou telle plateforme…
Bonjour,
Super article !
C’est bien immatériel.fr ? Je cherche à faire distribuer un petit guide à un coup modique voire gratuit, et que ce guide soit dispo sur l’iBookStore d’apple… et si en plus il peut se retrouver sur amazon, etc… c’est un plus.
@ Jeremy, oui, c’est bien http://www.immateriel.fr/
Allez-y, vous ne le regretterez pas !
Merci pour toutes ces précisions !
justement je cherche à vendre mon ebook sur la course à pied (www.commentcourir10km.com) sur plusieurs plateformes, notamment sur l’appstore.
Je vais contacter immatériel !
Jutoh ne permet pas de justifier le texte ? « justifier à gauche », « centrer », « justifier » à droite… mais pas de « justifier » tout court…
@ Celine : oui et c’est logique car la notion de justification totale n’existe pas dans le format Epub…
Pourquoi pas ?
Bonjour,
Moi je fais des epub à partir de Indesign, ou Quark Xpress ! Cela exporte directement en epub ! Il faut corriger le code (lettrines, fond de couleur, liens etc) dans sigil ou textwrangler ou Dreamweaver et tout va bien. Le epub se convertit très bien en .mobi pour le kindle avec Calibre.
Pour Ibook aussi pas de problème particulier ! quelques règles à respecter quand même
Pour Ipad comme app en tant que telle, un peu plus compliqué et plus cher à cause de Adobe qui fait payer le droit d’édition (env 300€ à vérifier les prix peuvent évoluer ) ou de quarkXpress (un peu moins cher selon l’option choisie)
Je suis formatrice PAO, si vous avez besoin de conseils, ou de faire mettre en page vos livres, vous pouvez me contacter ; contact@formationpao.fr
et pour répondre à Céline : c’est la liseuse qui définit le formatage du texte. Faire du texte tout justifié reviendrait à étirer la dernière ligne sur toute la largeur quelque soit
le corps et l’affichage choisi.
Cdlt
SJ
Sophie J
j’avais laissé un commentaire ici il y a un an. Depuis, j’ai persisté et mis sur la bibliothèque kindle d’Amazon 4-5 titres et 6 sur l’ibookstore d’Apple. J’ai finalement abandonné la conversion de fichier en ePub par moi-même et ai fini par recourir au service d’un Anglais, Matt Horner, du site ebookpartenership.com car je préfère ne pas perdre de temps sur les aspects techniques pour pouvoir écrire davantage.
Amazon marche mieux mais rapporte peu.
Par contre, je constate une augmentation régulière de mes ventes sur l’ibookStore d’Apple, c’est très encourageant : le versement des droits se fait avec une régularité parfaite.
J’aimerais vendre mes ebooks sur d’autres plateformes qu’Amazon et Apple. Sauriez-vous comment il faut faire pour soumettre ses ebooks à la bibliothèque numérique de la Fnac ? Doit-on passer par kobo.com ou est-ce autre chose ? et pour Numilog ? Merci d’avance.
@ Michèle Longour : oui, pour vendre sur la Fnac.com, il faut passer par Kobo.
Quant à Numilog, celui ou celle qui arrive à m’expliquer comment faire pour que ces gens répondent aux auteurs indépendants, je suis preneur !
Merci de votre réponse rapide, je vais donc avancer avec kobo qui m’a répondu avec une grande célérité.
Je compte profiter du salon du livre en mars 2012 pour obtenir d’autres renseignements sur Numilog ou autre : avez-vous prévu d’y aller ? Cela m’intéresserait bien de profiter de ce type d’événements pour pouvoir échanger avec des auteurs indépendants comme vous.
Bonjour,
Ayant achevé mon premier roman et n’ayant même pas tenté ma chance auprès d’un éditeur classique, je découvre les joies de l’auto-édition numérique. Je suis parvenu à me faire publier sur amazon et lulu mais je cherche d’autres pistes pour me donner une chance réelle car certaines personnes m’ont d’ores et déjà dit ne pas faire confiance au site lulu (à tort, c’est juste qu’elles n’en avaient jamais entendu parler avant). Ayant suivi ce billet, je suis allé faire un tour sur immateriel mais j’ai cru comprendre que ce site n’acceptait pas d’ouvrages auto-édités. Me serais-je trompé? Cherchant à être visible sur la fnac, j’ai là encore bien vite compris que l’enseigne ne tendait pas les bras aux livres auto-édités. Or là, dans les commentaires, j’entrevois une possibilité via le site de kobo. Disposant de mon fichier epub, il me suffirait juste de leur envoyer? Est-ce aussi simple que cela ou vais-je devoir faire face à quelques surprises?
Merci d’avance pour vos réponses.
@nbek: bonjour,
S’il en était besoin, je suis l’exemple vivant et la preuve qu’Immatériel accepte les ouvrages auto-édités !
Prenez contact avec eux, dites-leur que vous les avez connus grâce à mon site et voyez comment procéder avec eux…
Si ça ne marche pas avec Immatériel pour telle ou telle raison, peut-être peut-on procéder en direct avec Kobo comme on le fait avec Amazon… Je ne sais pas, je n’ai pas essayé.
Merci pour cette prompte réponse. Leur plate-forme de distribution numérique semble réservée aux éditeurs et un commentaire (certes ancien de décembre 2010) allait dans ce sens puisqu’un responsable d’immateriel précisait à une personne dans mon cas : »Navré, nous ne pouvons pas traiter directement avec les auteurs pour la revente ou la distribution d’un titre. Vous devez passer par un éditeur. » Mais je vais tenter ma chance via un courriel en vous citant comme référent, comme suggéré. Et parallèlement, je vais contacter Kobo pour augmenter mes chances. Je vous tiendrai au courant des réponses, elles pourraient intéresser d’autres personnes dans la même situation.
Bonjour
Désolé de vous déranger à nouveau mais j’aurais besoin de quelques renseignements complémentaires. Après avoir tenté ma chance à la fois sur Immatériel et sur Kobo, seul ce dernier m’a répondu. Or les métadonnées me posent problème. Kobo me demande si j’utilise de l’ONIX, ou des Excel metadata. D’après ce que j’ai pu comprendre, vu que je suis passé par le logiciel Atlantis, puis par Calibre et enfin par Sigil pour vérifier le tout, mes métadonnées ressortent en ONIX. Est-ce que c’est bien cela? Sinon, je confirme que Kobo est très réactif mais tout en anglais. Ceci dit, je réponds en français (je me suis posé la question de répondre en anglais ou pas mais vu que je suis passé par la plateforme .fr, je me suis dit qu’il fallait lutter pour défendre notre langue!) et il n’y a pas de souci.
Merci d’avance pour d’éventuelles réponses.
@ Nbek : je vais avoir du mal à vous répondre utilement dans la mesure où, je n’ai jamais été confronté à ce problème !
Les méta-data de mes ouvrages sont générés par Jutoh et je ne savais même pas qu’il y avait deux formats possibles…
Pour accélèrer le processus, moi, je répondrais plutôt en anglais à Kobo… Mais faites comme vous le sentez !
Je voudrais publier mon tapuscrit (sur Word) sur amazon et sur ibook. J’ai lu vos conseils qui me semblent for utiles mais je me sens incapable (peut-être que passé un certain âge…) de les suivre. Connaissez-vous quelqu’un qui puisse le faire de A à Z à partir de mon fichier Word ? Voilà un nouveau métier : assistance technique pour auto-éditeurs sur le web !
Merci,
Michael
Publiez votre livre électronique sur Amazon, sans courir un risque
http://www.amazon.fr/Publiez-%C3%A9lectronique-Amazon-courir-ebook/dp/B007I4FRGS/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1333115519&sr=8-2
Envoyez-moi votre livre que je puisse en parler sur mon blog…
Coucou tout le monde,
Je reviens pour vous pour vous dire que mon roman est désormais disponible sur le site de Kobo en attendant celui de la FNAC (ceci dit, on peut se connecter avec ses identifiants FNAC sur le site de Kobo). C’est tout de même un parcours du combattant avec 3 interlocuteurs différents, un vrai contrat à lire et à signer, un livre à envoyer ainsi que les métadonnées via un fichier excel via Filezilla (séparément avec 2 fichiers distincts) sur un serveur sécurisé, le tout en anglais. Cela m’a pris un bon mois même s’il y a eu un raté de leur côté (mon interlocuteur que j’ai dû relancer s’est excusé). Bref, on est tout de même bien loin de la rapidité d’un site comme Amazon ou Lulu où l’on peut être publié du jour au lendemain. Du coup, il est peut être plus aisé de passer par un site comme Smashwords qui permet aussi d’être présent sur la FNAC mais je ne sais pas comment se passe le paiement (en euro ou en dollar?).
J’espère que mon expérience pourra servir à d’autres. En attendant, j’ai eu mon premier versement de Lulu en dépit de ventes faméliques et cela fait toujours plaisir.
Merci pour les conseils reçus ici et bon courage à ceux qui se lancent dans l’aventure.
@ Nebek
Bravo et beaucoup de succès pour ton ouvrage !
Il est possible de justifier les textes dans jutoh et dans les format kindle et epub il suffit d’aller soit editer le css ou plus ismplement aller dans propriété projet style la selectionner le style et appuyez sur le bouton editer ensuite selectionner identation et espacement et a gauche vous pouvez selectionner le radio bouton justifié et cela marche et dans kindle et dans epub
voila
je suis pret a vous aider si besoin contacter moi burnedsyn @ gmail.com en supprimant les espace blanc
michael dit :
8 mars 2012 à 20:56
Je voudrais publier mon tapuscrit (sur Word) sur amazon et sur ibook. J’ai lu vos conseils qui me semblent for utiles mais je me sens incapable (peut-être que passé un certain âge…) de les suivre. Connaissez-vous quelqu’un qui puisse le faire de A à Z à partir de mon fichier Word ? Voilà un nouveau métier : assistance technique pour auto-éditeurs sur le web !
Merci,
Michael
XinXii offre la conversion au format ePub / mobi et la distribution gratuite (Amazon, Barnes & Noble, iBookstore, Kobo, Fnac…): http://www.xinxii.com (c’est la plateforme leader en Europe).
Je ne connaissais pas Xinxii et, effectivement, ça a l’air intéressant… à suivre !
bonjour
Comme je le dis dans un de mes articles il faut être motivé et positif En effet, parfois, on peut vite se perdre, puisqu’il faut rédiger de manière rigoureuse et organisée, mais aussi et surtout avoir des idées.
Cordialement
Bonsoir,
tres grand merci pour cet article.
Bonjour,
merci pour votre article passionnant.
J’ai édité un livre sur Kindle Amazon, mais pour les autres portails de vente, je voudrais déléguer,
pour ne pas perdre trop de temps.
Suite à la lecture de votre article et des commentaires, très intéressants,
j’ai essayé de m’inscrire et d’inscrire mon livre dans Xibxii et dans immateriel.fr.
j’ai été arrêté par le même problème technique:on me demande mon numero d’ISBN.
Or, il me semblait avoir compris, que justement,
cela faisait partie du package fourni par eux (le numéro ISBN)
Quelle est votre expérience sur ce point?
Existe-t-il d’autres sites qui proposent ce service?
Je voudrais être presente sur ibookstore et kobo-Fnac, bien sûr…
merci
Chris
@Chris
Oui, il vous faut des numéros ISBN pour identifier vos ouvrages… C’est indispensable et c’est gratuit. Demandez-les sur le site de l’afnil à http://www.afnil.com/default.asp?Info=2
C’est facile à obtenir, il suffit de les demander et, je le répéte, c’est gratuit en France -ce qui n’est pas le cas aux USA par exemple…-, profitez-en !
Bon courage !
Bonsoir,
et merci pour votre réponse si rapide!
Je vais donc de ce pas chercher mes ISBN.
– A votre avis, et selon votre expérience,
recommanderiez-vous plutôt immateriel.fr ou Xinxii?
– Ayant déjà sorti mon livre sur Kindle, j’ai cru comprendre que chez immateriel, on ne fait pas au détail. Si on est chez eux, ils se chargent de tous les portails de vente, ils n’enlèveront donc pas Amazon de mon package, sous pretexte que je l’ai dejà publié.
Croyez vous qu’on puisse vendre le même livre par 2 sources? (par moi, et par immateriel?) Un peu comme on trouve en papier le même titre posté par plusieurs personnes différentes, y compris des particuliers qui vendent leurs livres d’occasion? Est-ce possible en numérique? Ou vaudra-t-il mieux que j’enlève ma publication?
Encore merci,
Chris
@ Chris
Non, pas de pb avec Immatériel !
C’est VOUS qui choisissez vers quelles plateformes vous vendez, point. Personnellement, je ne passe pas par Immatériel pour publier sur amazon, je traite amazon en direct.
Merci pour votre démarche. Je suis un geek comme on dit, et je vais certainement m’intéresser à la publication d’ebooks pour ma femme.
Vos explications sont claires et intéressantes.
Arriver à publier sur Kindle est déjà un premier pas, mais c’est seulement le début de l’aventure, parce qu’il faut ensuite s’occuper personnellement de la promotion de son livre, et ce n’est pas une mince affaire !
@Philippe : tout à fait !
Et la promotion de ses ouvrages est une démarche difficile où la bonne recette reste encore à trouver… je suis preneur de conseils en la matière d’ailleurs !
@alefebvre : C’est moi, c’est nous qui devrions tirer parti des vôtres !
Permettez-moi de vous citer, et de citer votre exemple dans mon prochain article.
@Philippe : pas de pb et faites-moi signe quand il est en ligne !
Bonjour,
J’ai publié un livre autoédité qui est référencé à la FNAC, Decitre, Amazon, Prince Minister etc.
Que me conseillez-vous pour le publier en ebook ?
C’est peut-être un peu vaste comme question !
Pouvez-vous être plus spécifique ?
Ainsi, peut-être pourrais-je vous être utile…
Ping : L’enjeu stratégique des services d’auto-pub. | Le site de Jiminy Panoz
Bonjour,
merci pour votre article. Il me semble avoir compris que pour obtenir un ISBN, la déclaration pour dépôt légal auprès de la BNF était obligatoire. Qu’en est-il vraiment? Avez-vous dû passer par le dépôt légal pour vos propres ouvrages?
Cordialement…