Presque 4 mois d’écart entre le chapitre 3 et le chapitre 4… Je sors d’une épouvantable crise d’inspiration et j’espère bien qu’elle est effectivement terminée !
Cela ne m’étais jamais arrivé à ce point et je commençais à croire que cela ne pouvait pas m’arriver… Maintenant, je sais qu’on en est tous victime et je tremble d’avance pour la prochaine !
Mais bon, assez parlé de moi et revenons à ce tome II de « Perdu dans le temps » : le chapitre IV revient sur nos deux héros, Simon & Vincent… Je ne vous en dit pas plus, il suffit de lire ci-dessous :
Perdu Dans Le Temps -T2-Chap4
Bonjour je cherche désespèrément partout mais je ne trouve pas:
quand doit on lacher les freins:
-au point de braquage
-au point de corde
-entre les deux
-il n’y a pas de règle
comment faisaient: Senna, Schumacher, Prost, Loeb
ont ils des techniques differentes
Perso je lache le frein juste apres avoir braqué les roues
mais en regardant la F1 j’ai l’impression qu’il lache plutot au point de corde
Or techniquement freiner en courbe transfert la masse vers l’avant du vehicule et donc risque de sur virage avec l’arriere qui veut passer devant mais aussi risque de sous virage puisque trop de poids sur l’avant donc la voiture tire tout droit
Bref je suis perdu je ne comprends plus rien
PLEASE help me
@nans_michel
La profondeur du freinage a beaucoup évolué avec le temps : dans les années 60, les pilotes des gros protos relâchaient les freins au point de braquage mais avec les progrès en matière de chassis, de pneus et surtout d’aéro, la profondeur du freinage est « descendue » quasiment jusqu’au point de corde avec les voitures modernes (et surtout les monoplaces) à partir des années 80. Cependant, il faut toujours garder à l’esprit que le gros du freinage se fait toujours avec les roues droites et que plus la voiture est lourde et moins on peut se permettre de fantaisies à ce niveau (oubliez les freinages transferts façon kart, seuls les pilotes de rallyes font cela). Donc, profondeur du freinage doit toujours se conjuguer avec dégressivité de ce même freinage : on relâche pro-gre-ssi-ve-ment, sinon, c’est clair que le léger pivotage de l’arrière (souhaitable pour aider la voiture à pointer dans la bonne direction, surtout dans le cas d’un virage serré comme une épingle) va se terminer en tête-à-queue…
Pour conclure, votre technique de freinage va aussi dépendre de la voiture que vous pilotez : bonne profondeur de freinage avec les voitures modernes et à forte adhérence, profondeur plus limitée avec les voitures plus anciennes et/ou lourdes et avec peu de grip.
Bien entendu, les réglages vont aussi beaucoup influer sur votre capacité à augmenter ou non votre profondeur de freinage.
Ping : Petit point sur les travaux (mes prochains livres) en cours… | RTFM